c'est moi qui ai écrit la chicane et j'ai longuement hésité pour la fin entre 2 version, j'ai finalement pris la deuxième, mais en exculsivité je vous donne la première. J'ai mis en blanc la première version.
***
Marie et Pierre étaient de retour à leur appartement. Pierre fut content de voir à nouveau le sourire de Marie. Ils soupèrent, puis Pierre rentra dans la petite pièce, Marie, elle, alla s’asseoir sur le divan pour se calmer un peu et trouver les bons mots afin d’annoncer à Pierre, qu’elle avait passé des tests à l’hôpital. Décidé, elle se leva et rentra dans la petite pièce, là, Pierre emménageait des instruments de musique, une bibliothèque et un petit bureau. Marie, intrigué, perdit un peu son sourire.
- Chéri...qu’est-ce que tu fais ?
- Bah je nous fais un petit bureau et une salle de musique.
- Mais...tu...tu n’avais pas prévu faire...une chambre d’enfant...
- Oh, et bien je me suis dis qu’on était peut-être trop jeune pour ça et puis je ne me sens pas prêt pour être père encore.
- Oh...mais, trésor pourquoi as-tu si soudainement changé d’idée.
- Je te l’ai dit baby, je ne me sens pas prêt à être papa.
- Mais tu...tu n’aimerais pas enseigner à jouer du drum ou de la guitare à ton enfant ?
Pierre se tourna vers elle, Marie avait perdu son sourire et avait presque les larmes au yeux.
- Qu’est-ce qu’il y a Marie ?
- Rien, dit-elle en sortant de la pièce.
- Allons, arrête, je sais qu’il y a quelque chose qui ne va pas. C’est encore Véro ou David qui te tracasse ?
- Non, j’ai fait la paix avec Véro tout à l’heure
- Alors là, je ne sais pas quoi te dire, tu ne veux vraiment pas me dire ce qu’il y a ?
- Tu ne sais jamais quoi dire, cria-t-elle furieuse. Non je ne veux pas te le dire.
- Si tu serais plus facile à vivre, je saurais peut-être quoi dire !Lui répondit-il.
- Si t’aurais pas dragué toutes les filles de l’école avant moi et que je n’aurai pas peur qu’un beau jour une d’elle décide de revenir, je serais peut-être plus facile à vivre.
- C’est encore cette lettre qui te tracasse ? Marie on en a déjà parlé, non ? Elle datait de plusieurs années déjà, tourne la page un peu ça ferait du bien.
- C’est vrai je change d’idée moins rapidement que toi, un soir tu veux un enfant avec moi et puis là tu n’en veux plus. Moi, j’y ai pensé à ça, j’y ai pensé à nous deux , mais pour cette partie là, t’as pas pensé m’en parler. Qui te dit que je ne voulais pas avoir d’enfant moi ?!
- Tu ne semblais pas prête, toi non plus il y a quelque jour et maintenant tu cris parce que je te laisse une chance d’y penser plus longtemps. J’aurais dû prendre plus de temps avant de t’inviter à habiter avec moi, avoir su j’aurais attendu quelques années encore. T’es insupportables ! Toujours en quête d’attention, en train de répondre aux insultes d’Allison ou d’être jalouse à cause d’un plan qu’elle a monté pour nous séparer.
- Mais…essaya Marie, mais Pierre la coupa pour continuer de parler.
- Parfois, je me crois revenir en arrière avec ton comportement d’enfant, je n’ai pas besoin d’enfant, tu en es une à temps plein. Tu as des allures de filles forte et fière, mais le soir de party chez Jeff, tu la faisais moins la fière et c’est qui, qui est allé te sauver parce que tu avais encore fait une bêtises ? C’est moi ! Tu comprends Marie, tu es parfois très insupportable!!
Marie resta fixé, les larmes aux yeux, elle rentra dans la chambre et prit sa valise sous le lit. Elle ouvrit les tiroirs à la volé et commença à sortir les vêtements qui lui appartenaient et les mettre dans la grosse valise sur le lit. Puis, elle sortit de la chambre, Pierre était resté au même endroit en essayant de se calmer. Lorsqu’il la vit sortir avec sa valise, il lui demanda.
- Qu’est-ce que tu fais ?
- Je m’en vais!
Il se mit à rire.
- Je te connais Marie, tu ne le fera pas.
Marie ne se retourna pas et franchi la porte, il voyait pourtant des larmes coulé sur son visage. Il resta figé la comme si il était fixé dans le planché, il attendait qu'elle revienne, elle reviendrait il en était certain, lorsqu'il remarqua, la lumière du répondeur lui informé qu'il avait un nouveau message, il appuya sur le bouton et entendit.
-Bonjour Miss Desrosiers, c'est l'infirmière de l'hopital. nous avons eu votrer test de grosses de vous avez passé il y a quelque jour, j'ai l'honneur de vous dire félicitation, vous êtes enceinte, passé une bonne journée. aurevoir.
Tout dans la tête se déclancha, elle est partit, elle la laissé la et elle est enceinte. Il sortit de l'appartement à toute vitesse en hurlant Marie, mais il n'obtenait aucune réponse. Lorsqu'il arriva dehors sous la pluie battante il vit une marie en pleure le regardé par une vitre de taxi qui s'éloignais de lui.