The time of a life
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The time of a life

Un forum sur une histoire grandement apprécier écrite par Marie et Véro, maintenant prise en charge seulement par Véro. Vous pourrez lire une histoire mixé avec les gars de Simple Plan adolescent et cinq adolescentes.
 
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 épisode 25

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Véro
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Véro


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MessageSujet: épisode 25   épisode 25 EmptyJeu 16 Fév 2006 - 19:37

Épisode 25 : Journée de Saint-Valentin


Jessy se réveilla et remarqua que Chuck était encore endormi près d’elle. Elle décida de se lever en faisant attention pour ne pas le réveiller, car il semblait très bien dormir et très fatigué. Elle alla à la salle de bain, puis hésita en voyant la boîte de pilule, mais décida d’en prendre qu’un seul comprimé, comme ça elle se sentirait moins coupable vis-à-vis Chuck. Elle ne savait pas trop pourquoi il s’inquiétait pour ça, mais elle n’avait pas envie de se chicaner encore avec lui, puis elle avait de la difficulté à endurer son mal. Chuck se réveilla lorsque Jessy alla s’étendre dans son lit et le frôla un peu.
- Salut ma belle, dit-il encore endormi. Comment te sens-tu aujourd’hui ?
- Quand même mieux, répondit Jessy avant d’embrasser Chuck. Je t’aime ! Je suis contente que tu m’aides à traverser cette mauvaise passe.
- Ce n’est rien. En plus, on est le jour de la Saint-Valentin ! Je ne peux pas faire autrement que de le passer avec toi !
- C’est vrai, moi non plus.
- Si tu veux, on peut rester coucher encore un moment. La grâce matinée, ce matin, ne nous ferait pas de tord.
- Je ne le crois pas non plus. C’est une bonne idée que tu as.
- Et bien, merci. Je serais tout de même heureux d’être n’importe où, en autant que c’est avec toi !
- Ah ! Tu es tellement gentil, mon Chuck d’amour, s’exclama Jessy, le sourire aux lèvres, malgré qu’elle avait mal.
- Je t’aime vraiment beaucoup, toi ! Répondit Chuck avant de se mettre à embrasser Jessy.
Ils s’embrassèrent pendant un bon moment et se mirent à parler de tout et de rien. Chuck était content de voir que sa blonde semblait aller un peu mieux, mais il voyait qu’elle n’était pas au meilleur de sa forme.

Marie se réveilla et était encore un peu surprise de voir que Pierre était couché près d’elle et la tenait par la taille. Elle avait cru que c’était un rêve, mais elle était bien contente que ce soit été vrai, ce qui s’était passé la veille. Lorsqu’elle bougea un peu, Pierre resserra son étreinte, puis ouvrit les yeux doucement. Lorsqu’il vit Marie, il ne put s’empêcher de lui sourire et de l’embrasser.
- Bon matin, ma belle Marie, dit Pierre en lui faisant un beau sourire. Je suis tellement content que tu m’aies pardonné ! Je suis tellement…
- Tu n’as pas à en ajouter Pierre, je t’ai pardonné et ça se termine là. On est de nouveau ensemble, c’est tout.
- Je t’aime tellement !
- Moi aussi.
- Ah et c’est la Saint-Valentin aujourd’hui !
- C’est vrai, c’est aujourd’hui. Sauf que je ne veux pas qu’on fasse trop de choses, je ne veux rien d’extraordinaire, ajouta Marie aussi souriante que Pierre.
- Et bien, se sera comme tu le désires ! On pourrait commencer par aller déjeuner.
- Quel bonne idée que tu as, mon amour.
Pierre fit un sourire à Marie et l’embrassa. Après s’être habillé et un peu s’être peigner, ils purent descendre à la cuisine où Véro et David était déjà.
- C’est rare que vous êtes réveillés aussi tôt, dit Véro en les voyant entrer dans la cuisine.
- C’est vrai ça, ajouta David. Le lit de Marie est plus petite que prévu et vous avez tombé en bas ? Ou bien, on vous a réveillé ?
- Je ne sais pas, répondit Pierre en haussant les épaules.
- C’est sûrement de ta faute David ! Tu as tellement fait de bruit en te levant, répondit Véro. Je te l’avais dit que tu pouvais faire plus attention, ajouta-t-elle sur le ton de la blague.
- Bien sûr, c’est toujours de ma faute dans cette maison, répondit David.
- Allons, ne vous chicanez pas, dit alors Marie. C’est la Saint-Valentin, la fête de l’amour ! Forcez-vous un peu !
- Non, répondit David.
- C’est vrai, on s’aime tous les autres jours de l’année comme des fous, on a bien droit de se chicaner un peu alors que c’est un jour de fête, répliqua Véro.
- Vous faites bien ce que vous voulez, répondit alors Marie.
- Justement, on fait ce que veux, mais on va faire quoi David chéri ? Demanda Véro, en débarrassant les assiettes.
- Je ne sais pas, répondit simplement David. On se trouve un coin et on fait l’amour, proposa David.
- C’est une idée, répondit Véro. C’est juste qu’on peut faire ça ce soir.
- Comme tu veux, répondit David en haussant les épaules. Qu’est-ce qu’on fait alors ? Pierre, Marie, vous faites quoi vous autres ?
- On ne sait pas vraiment, sûrement rien de très spécial, répondit Pierre. On pourrait peut-être faire de quoi ensemble.
- Comme quoi ? Demanda Marie.
- Je ne sais pas, on pourrait aller à la patinoire, proposa Véro. Quelques petites heures.
- Ouais, ça pourrait être intéressant, approuva Pierre.
- Je ne suis pas du même avis, rétorqua David. Après tout, il ne fait pas assez froid dehors pour que la glace soit belle. Non, on peut juste rien faire ici.
- Dav tu es peureux ! S’exclama Marie, en riant. Dans le fond, tu n’es pas capable de patiner, c’est pour ça que tu ne veux pas venir ! Tu as peur de te ridiculiser, malgré que je te comprend.
- Ah ouais, c’est vrai, dit Véro. David, tu ne sais pas patiner, j’avais oublier.
- C’est ça, ridiculisez-moi ! S’exclama David. Je sais patiner, mais pas aujourd’hui. On fait autre chose, mais on ne va pas à la patinoire, ça ne me tente pas. C’est pas parce que j’ai peur.
- C’est bon Dav, on a compris. Ce n’est pas ta faute si tu as peur, répliqua Marie, en riant.
Voyant que David ne tarderait pas à répliquer en lui lançant quelques choses, Marie s’empressa d’ajouter de manière plus sérieuse.
- Sérieusement, je blague. On fait quoi ? Demanda-t-elle.
- On pourrait aller magasiner pour le bal de fin d’année, proposa Véro.
- C’est vrai, il y a le bal cette année. Moi aussi j’ai eu l’invitation, répliqua Marie. J’avais complètement oublié.
- Au fait Véro, tu es accompagnée ? Demanda David, pour rire.
- Ouais, répondit Véro sérieusement.
- Tu y vas avec qui ? Demanda David, en haussant les sourcils.
- Avec Peter Pan ! Répondit Véro, le sourire aux lèvres.
- Ah bien oui, c’est vrai. J’avais complètement oublié que Peter Pan t’avait dit oui pour t’accompagner à ce regroupement d’étudiants fou !
Véro n’ajouta rien et se contenta de rire de ce que David avait dit. Marie et Pierre acceptèrent alors d’aller faire un petit tour en ville, comme ça Pierre et David en profiteraient pour acheter des petites gâteries aux filles et ils pourraient passer par le magasin de musique, car il voulait recommencer à pratiquer bientôt. Ils partirent donc tous les quatre en direction du centre ville.

Géraldine se réveilla avec une énorme faim. Elle regarda l’heure et constata qu’il était dépassé 11h, alors elle décida de réveiller Sébastien. Elle y alla de manière douce en l’embrassant dans le cou, puis en le chatouillant un peu. Il finit par entrouvrir les yeux et put apercevoir Géraldine. Sébastien fit alors un sourire, puis il ouvrit complètement les yeux, puis attrapa sa blonde pour la chatouiller à son tour. Géraldine finit par se déprendre et se mit à courir jusque dans la cuisine en criant et en riant. Sébastien l’avait suivit en courant et avait finit par l’attraper et l’embrasser tendrement pendant un très long moment. Lorsqu’ils se lâchèrent, ils éclatèrent de rire, puis entreprirent de faire le petit déjeuner. Ils se firent des œufs et du bacon, puis ils allèrent s’installer pour manger leur petit déjeuner devant la télé. Ils allumèrent la télévision et arrêtèrent leur choix sur un vieux film d’action qui était très mal traduit et que les actions étaient bien trop prévisible. Géraldine et Sébastien riaient du langage et du comportement des personnages qui était plutôt drôle. Après qu’ils eurent terminer de manger, ils allèrent laver la vaisselle et prendre une douche, avant que les parents de Géraldine arrive. Ils sortirent de la salle de bain exactement lorsque les parents de Géraldine entrèrent dans la maison.
- On est juste correct, dit alors Géraldine.
- Ouais, un peu plus et on se faisait surprendre par tes parents, dit-il en riant.
- Ça aurait été drôle. Ils m’auraient fait un de leurs grands sermons trop ennuyant sur la vie et sur le respect et blablabla.
Sébastien échappa un petit rire, puis prit Géraldine dans ses bras pour l’embrasser.
- Alors, on fait quoi aujourd’hui, ma princesse ? Demanda Sébastien, en souriant à Géraldine.
- Ma princesse ? Répéta Géraldine un peu étonnée. C’est nouveau ce surnom, mais j’aime bien ça.
- Tant mieux, je comptais m’y habituer. Sinon, tu as envie de faire quelque chose en particulier, ma belle princesse que j’aimerai toujours ?
- Il ne faudrait quand même pas en mettre trop, Seb, dit alors Géraldine en riant. Sinon, je n’ai pas envie de faire quelque chose en particulier, juste être avec toi est bien suffisant pour moi.
- C’est parfait, moi aussi c’est ce qui me plaît. Il faudrait tout de même trouver quelques choses. Que dirais-tu de continuer tes cours de guitare ?
- C’est une merveilleuse idée ça ! J’oubliais presque mes cours de guitare, répondit-elle le sourire aux lèvres.
- Alors, allons pour la guitare. Puis, si tu veux, ce soir, on ira au restaurant, ajouta Sébastien.
- Oui, ce programme me va ! Répondit Géraldine avant d’embrasser Sébastien passionnément.
Géraldine et Sébastien se rendirent alors chez les parents de Sébastien, car Seb n’avait pas amené sa guitare. Puis, comme il en avait deux, ça serait beaucoup plus intéressant d’aller pratiquer chez lui. En plus, ses parents n’étaient pas là de la journée.

Jessy et Chuck parlait tranquillement dans la chambre de Jessy et ils riaient beaucoup. Chuck put même remarqué que Jessy avait reprit des couleurs et semblait aller mieux que la veille. Il était content, car il avait prévu sortir au restaurant pour le souper et il aurait été hésitant d’inviter Jessy, si elle aurait été encore malade. Il avait même loué une chambre d’hôtel pour qu’ils passent la nuit ensemble, en amoureux, puis pour qu’ils fassent un peu changement.
- Tu sembles aller mieux, ma belle Jess, dit alors Chuck en passant une main dans les cheveux de Jessy.
- Ouais, je vais quand même mieux qu’hier. Ça doit être ta présence qui me rend de si bonne humeur et qui me rend si en forme. Tu dois avoir une sorte de don pour ça, répondit-elle en souriant après le geste de Chuck.
- Et bien, si c’est ce qui te rend en forme, je veux bien passer le reste de mes jours à tes côtés ! Répondit Chuck, qui souriait aussi.
- Oh tu es vraiment romantique Chuck ! J’adore ce côté de ta personnalité, tu as le don de me faire sourire et de me dire des choses vraiment mignonnes.
- C’est parce que tu m’inspires. Je ne peux faire autrement en présence d’une fille aussi génial que toi !
- Tu vois, tu en dis encore ! Je t’aime tellement, mon amour !
- Moi aussi, ma belle Jessy ! Je voulais te demander si tu voulais venir au restaurant ce soir.
- Bien sûr que oui. C’est une bonne idée ça. Ça va faire changement de manger à la maison, même si c’est plaisant aussi.
- Ouais, puis si tu veux, on va passer la nuit à l’hôtel.
- À l’hôtel ? Dit Jessy, surprise. Ce n’est pas un peu cher comme dépense ça ? Tu sais, tu n’es pas obligé de faire ça pour moi.
- J’en ai envie, Jessy ! Alors, je ne vois pas pourquoi je m’en empêcherais ! J’ai envie d’être avec toi et je me dis que de prendre une chambre d’hôtel pourrait faire changement et être intéressant.
- Ouais, tu as sans doute raison. Enfin, je veux que se soit clair, on ne le fait pas que pour moi, mais aussi pour toi. Si ça te tente, ça va, sinon ce n’est pas grave et on ne le fait pas.
- Alors, je prend ça pour un oui ça te tente. Pour le moment, on fait quoi ? Je n’ai pas envie de faire grand chose, mais on n’est pas pour rester là sans rien faire durant le reste de la journée.
- On pourrait, mais ça ne me tente pas trop. Je ne sais pas, peut-être que d’écouter la télé pourrait être quelque chose à faire.
- Ouais, écouter la télévision, tout coller l’un contre l’autre. Ça me plaît beaucoup. On devrait faire ça tous les jours.
- Bon et bien, on y va !
Jessy afficha un sourire, puis sortit de sa chambre, suivi de Chuck. Ils descendirent dans le salon et constatèrent que la maison était bien silencieuse. Cela changea lorsqu’ils ouvrirent la télé. Ils décidèrent d’écouter un film d’amour, car il n’y avait pas beaucoup de choix à la télévision, à cette heure de l’après-midi.
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MessageSujet: Re: épisode 25   épisode 25 EmptyJeu 16 Fév 2006 - 19:37

Pierre, David, Marie et Véro arrivèrent en ville en chantant des chansons, car la radio de la voiture de David était brisée. Véro lui promit de l’aider à acheter une nouvelle radio d’auto, puis ils sortirent de la voiture pour marcher jusqu’au centre d’achat. Il faisait beau et tout le monde était content, Marie et Pierre avaient complètement retirer leurs chicanes de leurs mémoires et profitaient du beau temps.
- C’est cool que le printemps arrive bientôt, j’ai hâte de ressortir mes jupes, dit alors Véro en marchant au côté de David. J’aime beaucoup mieux l’été, en plus avec les vacances !
- On te comprend, dit alors Pierre. J’ai aussi hâte.
- Surtout aux vacances, dit David. Je n’aime pas l’école, alors quoi de mieux qu’un long congé de deux mois !
- Ouais, mais en parlant d’école, on recommence demain pour de bon, répondit Marie. C’est trop nul !
- Tu l’as dit ! Puis, de revoir Allison ne m’enchante vraiment pas, répondit Véro, en perdant le sourire.
- Ah ne perd pas ton sourire pour ça, Allison n’en vaut pas la peine, répondit Pierre, qui n’aimait pas du tout Allison non plus. Il faut juste l’ignorer, cette garce.
- Puis, je pourrais parier n’importe quoi que cette fille va passer la Saint-Valentin toute seule, mais quel gars censé voudrait passé une soirée avec cette folle ! Répliqua David, en prenant Véro par les épaules, pour lui remonter le morale.
- Ils ont raison, répondit Marie à son tour. Il ne faut pas s’inquiéter pour elle, puis de toute façon, elle ne peut plus rien contre nous. On est fort, maintenant qu’on a réussi à passer par dessus plein de grosses épreuves.
- Ouais, bon, vous avez raison, finit par dire Véro en affichant un petit sourire. C’est juste que quand je pense à elle, j’ai toujours cette envie de vomir, ajouta-t-elle pour rire.
- On te comprend ! Répondit Marie, Pierre et David presque en même temps.
Véro se mit alors à rire, suivi des autres. Ils rirent pendant un long moment, puis finalement ils aperçurent le centre d’achat. David proposa de commencer en allant voir les modèles de radio d’auto, car il était réellement tanné de ne pas pouvoir écouter de la musique dans sa voiture. Ils décidèrent donc d’aller voir dans un magasin d’appareils électroniques. David trouva bien vite une radio pas trop cher, mais très intéressante. Véro ne cessait de rire, car elle trouvait que le vendeur avait une voix de canard et qu’il marchait comme un pingouin.
- Vous ne trouvez pas que le vendeur était ridicule, dit Véro en sortant du magasin, toujours avec un grand sourire.
- Ouais, c’était pas mal dur de garder son sérieux, répondit David. Il ressemblait à un morse ou quelque chose du genre.
- Un morse ? Tu exagères, répliqua Pierre. Il ressemble plus à une poule.
- Ah les gars, ce n’est pas gentil, dit Véro qui se retenait pour ne pas rire aussi. Je crois plus qu’il avait une démarche de pingouin et une voix de canards !
- Tu dis qu’on n’est pas gentil, mais tu en profites pour l’insulter aussi, répliqua David. Ce n’est pas très gentil de ta part !
- Bon, ça suffit là, dit Marie. On va où, là ?
- Je voulais m’acheter quelques petits trucs, répondit Véro. Je pourrais y aller avec Marie, pendant que les gars, vous irez voir pour acheter les trucs qui vous manque au magasin de musique.
- Ça marche pour moi, répondit Pierre.
- David, tu pourras en profiter pour acheter un cadeau ou deux cadeaux à ta blonde, ajouta Marie. Je te le dis, car on ne sait jamais, les gars sont parfois si distrait.
- Marie, je ne suis pas con ! C’est vrai, j’ai parfois été bien distrait lorsque j’oubliais de t’acheter un cadeau de fête, mais ça l’a changé. Merci quand même du conseil, même si c’est plus Pierre qui va s’en servir.
- Moi ? Dit alors Pierre. Voyons, de nous deux, c’est bien moi qui est le plus romantique et le moins distrait !
- Ouais, ouais, si tu veux, mais nous on y va, répliqua Véro, avant d’embrasser David, puis de prendre la main de Marie pour qu’elle la suive.
David regarda Véro partir, puis se retourna vers Pierre et haussa les épaules. Puis, les deux gars allèrent dans la direction opposée aux deux filles. Ils rentrèrent dans une boutique où ils décidèrent d’acheter des chocolats et des petits trucs de Saint-Valentin qui leurs étaient conseiller par la vendeuse. Les gars n’achetèrent pas grand chose, car ils se disaient que l’amour ne s’achetait pas avec des petits chocolats. Ils allèrent ensuite au magasin de musique, puis David s’acheta une sangle et Pierre un paquet de cordes pour sa guitare.
- On est vraiment les deux gars les plus chanceux au monde ! S’exclama David en prenant son sac.
- Tu l’as déjà dit ça et je t’approuve toujours. On a eu le plus beau prix qu’il peut y avoir sur cette terre. Sinon, c’est quoi tes projets pour ce soir ? Demanda Pierre.
- Ah je passe du temps avec Véro, répondit David pensif.
- Je l’aurais deviné tout seul ça, mais vous allez faire quoi ?
- Ah ! Je vais l’amener dans mon appartement et si elle veut bien, ça sera notre appartement à nous deux.
- Tu as loué un appartement ! S’exclama Pierre.
- Et bien oui, c’était rendu qu’on n’avait plus le droit de s’embrasser dans les couloirs chez nous. Alors, je me suis dit que d’avoir une place à nous, pourrait être une bonne idée. Surtout qu’on va garder Emy.
- Emy ? Demanda Pierre, intrigué.
- Ouais, la fille de ma tante. Elle s’appelle Émilie, mais tout le monde la surnomme déjà Emy. Donc, c’est ça, ma tante a eu un petit bébé et on va s’en occuper.
- C’est cool ça ! Je ne le savais pas. Pour l’appartement aussi c’est cool ! Tu nous invitera pour qu’on visite votre chez vous.
- Ne t’inquiète pas avec ça ! Je compte faire bien des petites fêtes contenant de l’alcool !
- Je ne te le conseil pas, ce n’est pas ce que Véro aime le plus chez toi. Enfin, elle te préfère sobre, fit toi sur moi !
- Ouais, tu as raison. Je disais ça comme ça, pour parler, mais je n’ai pas l’intention de devenir un grand buveur là ! Je ne suis pas stupide à ce point là. Non, mais ça va nous permettre d’avoir plus d’intimité et de liberté.
- Ça c’est sûr. J’espère aussi pour toi que Véro voudra s’occuper des repas, car avoir un appartement impose des responsabilités de plus que chez ses parents.
- Ouais, je sais. Sauf que là, Véro ne le sait pas encore pour l’appartement. C’est ma surprise, j’espère juste qu’elle va bien le prendre.
- Ah sûrement. Je ne vois pas pourquoi elle serait contre le fait d’aller vivre avec toi, surtout qu’elle était prête à fonder une famille avec toi.
- Ouais, vu de même. Sinon, je ne veux pas trop le savoir, mais par politesse, je vais te demander ce que vous avez l’intention de faire ce soir.
- Et bien, je vais l’amener au restaurant, puis après j’aimerais bien passer un petit moment seul avec elle, chez nous. Rien de plus simple.
- C’est ce qu’il faut. Dans le fond, on va presque faire la même chose à soir. Quel drôle de coïncidence.
- Ouais, effectivement.
Les gars parlèrent encore un bon moment en rentrant dans le magasin de jeux vidéo.

Les filles allèrent s’acheter des nouveaux vêtements spécialement pour la soirée, aussi parce qu’elle avait envie de nouveaux vêtements. Elles ne parlèrent pas beaucoup durant les essayages, mais lorsqu’elles sortirent de la petite boutique les mains pleines, Véro se mit à pleurer.
- Véro ! Qu’est-ce que tu as ? Demanda Marie.
- Je n’arrive pas à m’imaginer que se soit arriver.
- Quoi dont ? Demanda Marie.
- Et bien, que je sois avec ton frère. Je sais, ça fait bizarre de dire ça maintenant, mais je n’arrive pas à croire que c’est mon rêve qui s’est réalisé.
- C’est vrai que c’est surprenant que tu me dises ça maintenant. Sauf que…Véro, ça se peux-tu que se soit à cause de la perte de tes bébés que tu pleures ? Parce qu’on vient de passer devant une boutique pour enfant.
Véro ne répondit pas et se contenta de faire un signe de tête positif. Elle essuya ses quelques larmes, puis afficha un petit sourire forcé.
- Je ne devrais pas pleurer, ça fait quand même longtemps et…
- C’est normal Véro. Ce genre de peine ne se guérit pas tout de suite et aussi facilement, ça prend du temps, dit Marie en interrompant Véro. Tu as le droit de pleurer, on peut tous comprendre ça.
- Peut-être. Enfin, je suis désolée, je n’ai pas pu m’empêcher de pleurer en voyant les petits pyjamas dans la vitrine.
- Je sais et c’est normal. Tu les voulais ces enfants, alors c’est normal que tu t’ennuies.
- C’est vraiment comme un grand vide en moi. J’espère que tu ne vivras jamais ça, c’est si pénible.
- Je ne crois pas, répondit Marie pensive. Je suis bien décidé pour ce que je veux faire et je ne crois pas que je vais regretter cet enfant.
- Je ne disais pas ça pour ça, répliqua Marie. Je ne voulais pas douter de ta décision, après tout c’est toi qui décide. Si tu veux, je vais venir avec toi pour l’avortement.
- Tu ferais ça ? Demanda Marie un peu surprise par la réponse de son amie.
- Je ne suis pas en accord avec ton choix, c’est vrai, mais tu es mon amie. Alors, c’est normal que je t’aide dans des moments difficiles, je vais venir avec toi.
- C’est vraiment gentil de ta part. Je suis contente que tu viennes avec moi. Pierre a dit qu’il viendrait, mais si tu es là aussi, je vais me sentir mieux.
- Je suis contente d’entendre ça. Si tu veux bien, on va changer de sujets. Sinon, ça me fait penser à mes bébés et je ne veux pas avoir une face d’enterrement pour ce soir.
- D’accord. En fait, tu as raison. Je ne sais pas trop de quoi parler…euh…vous allez faire quoi ce soir ?
- Je ne sais pas. David me réserve la surprise et c’est plutôt intriguant, car venant de sa part, je ne sais pas trop ce que ça peut être.
- Je te comprend. Moi et Pierre, on va faire ça tout simple. Restaurant et petite soirée en tête à tête, c’est tout.
- C’est aussi très bien la simplicité. Moi, ça ne me dérangerais pas de rester dans ma chambre en compagnie de David, ça serait bien suffisant. Je ne me plaindrai pas non plus d’avoir une surprise. J’ai toujours aimé le mystère et les surprises.
- Ouais, moi aussi. Enfin, tu me parles de David et je n’ai tellement pas l’impression que ce gars là, c’est mon frère. Je sais bien qu’il n’est pas pareil en tant que frère et chum, mais tu me surprends quand même sur certain point. Surtout que vous êtes déjà fiancés, je ne pensais pas qu’il pouvait être sérieux à ce point là.
- Et bien, avec moi, il a toujours été comme ça, à part quand il m’agaçait pour s’amuser. Il finissait toujours pas s’excuser s’il m’avait fait de la peine ou bien quand on était seul, on parlait souvent de choses sérieuses. Je comprend quand même ce que tu veux dire, c’est comme ça dans plusieurs familles, on ne sait pas toujours tout sur l’autre.
- Non, effectivement, mais j’aime bien la façon dont il se comporte avec moi depuis qu’il sort avec toi. Il est toujours gentil avec moi et il m’écoute. Il l’a déjà fait avant, mais il était presque jamais chez nous et ne me parlait à peine.
- Je sais ça, répondit Véro, en faisant un signe de la tête positif.
- Il a toujours eu une préférence pour toi, mais moi je croyais que c’était parce qu’il t’aurait aimé comme sœur, je ne pensais pas vraiment autres choses.
- Moi non plus. Sauf qu’il a quand même changé au début de l’adolescence. Il m’insultait souvent devant ses amis ou encore il me nommait de plein de noms ridicule.
- Comme Pierre le faisait avec moi, se rappela Marie.
- Oui, approuva Véro, en sortant d’une boutique de bijoux.
Les deux filles avaient prévenus les gars qu’il les attendrait au petit restaurant rapide du centre d’achat. Elles allèrent donc s’asseoir devant un assiette rempli de frites, pour attendre David et Pierre.

Géraldine et Sébastien avaient traîné en chemin, ils étaient arrivés chez Seb alors qu’il était exactement midi et demi. Ils décidèrent de manger un peu avant de sortir les guitares pour pratiquer. Ils se firent alors des sandwichs et mangèrent le restant de tartes aux pommes que la mère de Sébastien avait fait. Ils s’embrassèrent un long moment, assis par terre dans la chambre de Seb, avant de décider de prendre les guitares et de commencer à les gratter. Géraldine prenait la nouvelle guitare que Sébastien s’était acheté, tant qu’à Seb, il prenait sa toute première guitare. Il commença par jouer quelques accords et demanda à Géraldine de faire comme lui. Elle se débrouilla très bien et ne fit aucune fausse note, ce qui surpris un peu Sébastien, mais il était fier d’elle. Il lui présenta ensuite des partitions d’une des compositions de Véro, puis lui demanda de les jouer. Géraldine y arriva sans trop de difficulté.
- Tu t’es vraiment améliorer, ma belle Gege ! S’exclama Sébastien. Je ne savais pas que tu avais autant de talent pour la guitare.
- Je crois te l’avoir déjà dit, c’est simplement parce que j’ai un excellant professeur qui sait ce qu’il fait.
- C’est possible, mais tu apprends quand même très vite. Tu devrais t’acheter une guitare.
- Ouais, peut-être, mais je n’ai pas suffisamment d’argent et je dois me concentrer pour acheter une batterie. Je ne pourrai pas prendre celle de mon frère tout le temps, surtout avec nos deux groupes.
- C’est sûr que vu comme ça.
- Je vais quand même trouver un moyen. J’adore trop jouer de la guitare, alors il m’en faut absolument une.
- Si tu veux, je peux te passer la mienne, répondit Sébastien, le sourire aux lèvres.
- Tu ferais ça ? Demanda Géraldine, un peu surprise, mais très contente d’apprendre la nouvelle.
- Oui, c’est sûr. J’en ai deux, alors je peux bien t’en passer une, puis ça me fait plaisir de te rendre heureuse.
Géraldine sourit à Seb, puis lui sauta au cou pour l’embrasser tendrement. Seb et Géraldine s’étendirent sur le lit, puis firent presque tomber la guitare que Géraldine avait déposé plus tôt. Sébastien prit alors le soin de la déposer par terre, puis continua à embrasser Géraldine, tout en laissant ses mains la redécouvrir une autre fois.
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MessageSujet: Re: épisode 25   épisode 25 EmptyJeu 16 Fév 2006 - 19:38

Jessy et Chuck n’avaient pas fait grand choses de leurs après-midi, mais ils étaient très content d’avoir passer un bon moment ensemble. Jessy s’était sentie dans l’obligation de prendre un comprimé contre le mal de tête, mais avait quand même oublié vite son mal. Chuck s’arrangea pour préparer un sac, car ils allaient passer la nuit à l’hôtel ensemble. Ils s’arrangèrent pour laisser un mot pour les parents de Jessy, même s’ils se doutaient qu’ils ne rentreraient pas de la nuit. Jessy se fit belle pendant que Chuck la regardait, un grand sourire sur les lèvres. Il la trouvait tellement belle.
- Tu es tellement belle comme ça, dit alors Chuck. Ça te va très bien le rouge.
- Et bien, merci, répondit Jessy en se retournant pour faire un sourire à Chuck.
- Ah ! Tu es quand même belle tout le temps, mais particulièrement ce soir. Je voulais simplement qu’il n’y ait pas de mal entendu par rapport à ça.
- C’est correct que tu le précises, mais je n’en aurais pas fait tout un drame pour une petite nuance comme ça.
- Et bien, c’est comme ça que je t’aime ! Répliqua Chuck, avant de l’embrasser tendrement sur les lèvres.
- Alors, on peut y aller quand tu veux, moi je suis prête à partir, dit Jessy en prenant son sac à main.
- Et bien, moi je t’attendais, alors on peut partir dès maintenant, répondit Chuck en prenant la main de Jessy.
Chuck et Jessy descendirent au rez-de-chaussée, prirent leurs manteaux et quelques effets personnels, puis allèrent prendre la voiture de Chuck. Ils ne faisaient pas trop froid, alors ils étaient très bien dans la voiture et à l’extérieur. Ils prirent alors la décision de marcher un peu jusqu’à un restaurant. Ils prirent une petite table pour deux dans le fond de la salle, pour avoir un peu plus d’intimité. L’ambiance du restaurant était très chaleureuse, il faisait chaud, la lumière était légère et il y avait une odeur très plaisante. Le propriétaire avait fait décoré le restaurant spécialement pour la Saint-Valentin et il y avait des chandelles à toutes les tables pour deux.
- C’est vraiment beau, ici, dit Jessy, en enlevant son manteau et en le plaçant derrière sa chaise.
- C’est vrai que c’est un endroit assez chic, répliqua Chuck. J’aime bien ça. Je crois bien qu’on va passer une très belle soirée tous les deux.
- Je le crois aussi.
Ils décidèrent de commander maintenant, alors ils firent signes au serveur, qui passait près de leurs tables. Ils commandèrent très rapidement et furent très surpris de la rapidité du service. Ils commencèrent alors à manger, tout en gardant un silence, mais en se regardant d’un regard amoureux.
- Tu sais, je ne me verras pas passer la soirée avec quelqu’un d’autres, commença par dire Jessy.
- Moi, non plus. Je crois que si tu ne serais pas revenu au Québec, je serais allé te chercher.
- Ça aurait été une belle surprise à ce moment là.
- Je t’aime tellement et cela depuis que je te connais. Alors que nous étions tout petit, j’avais déjà un œil sur toi.
- Je mentirais si je te disais moi aussi, mais j’ai su découvrir ta vrai personnalité et je ne sais pas ce que j’aurais fait si je ne l’aurais pas découvert.
Jessy et Chuck parlèrent pendant un long moment comme ça. De leur passé, mais aussi du futur, ils aimaient bien imaginer comment ils seraient dans 10 ans. Ils se racontaient plein de choses, mais ils étaient toujours les deux ensemble. Ils finirent leur repas environ une heure après leur arrivé, car ils parlaient beaucoup entre chaque bouchée, en plus du dessert. Ils allèrent ensuite jusqu’à l’hôtel qu’ils avaient réservé. Tout était très beau dans cette chambre. Ils se sentaient tous les deux comme dans un rêve. Chuck s’approcha alors de Jessy et la prit dans ses bras jusque sur le lit, où ils s’embrassèrent longuement.

Dès que Jeff c’était réveillé ce matin là, il avait appelé Jessica pour passer un moment avec elle. En fait, ils passèrent la journée ensemble en commençant par un petit déjeuner en amoureux aux petits restaurants du coin. Ensuite, ils allèrent patiner dans le quartier de Jessica où ils eurent beaucoup de plaisir. Jeff ne vit même pas le temps passer tellement la présence de Jessica le comblait de bonheur. Il aurait voulu que cette journée dure jusqu’à la fin de ses jours. Jessica était également très à l’aise dans les bras de son Jeff, elle se sentait toujours bien et en sécurité. Elle riait beaucoup de Jeff, mais plus souvent avec lui, car elle le trouvait assez drôle. Ils décidèrent de passer la soirée ensemble chez Jessica, car sa sœur et ses parents ne rentreraient pas de la nuit.
- Je suis contente de passer la soirée de la Saint-Valentin avec toi, dit Jessica, alors qu’elle était assise dans son salon et qu’elle s’était accotée la tête sur l’épaule de Jeff.
- Moi aussi. Je suis très content de t’avoir rencontrer ! Tu es la femme de ma vie, ajouta-t-il, un petit sourire sur les lèvres.
- Tu es sûr ? Demanda Jessica. Tu ne dis pas ça juste pour me faire plaisir ?
- Bien sûr que non, ma belle Jessica ! Je suis très sincère, même si ça ne m’arrive pas tout le temps d’être aussi sérieux et sincère.
- Ah bon ? Répliqua Jessica pour l’agacer un peu.
- Ouais, avec ma sœur, par exemple, répliqua-t-il en haussant les épaules. De toute façon, l’important c’est que je t’aime.
- Ouais, je te l’accorde. Puis, je t’aime aussi, tu n’as pas à t’inquiéter sur ça.
- Et bien, c’est tant mieux !
Jeff sourit, puis embrassa Jessica tendrement sur les lèvres, puis il l’amena dans ses bras jusque dans la chambre de sa bien-aimée.

David et Pierre étaient allés retrouver les filles, puis ils avaient décidé de partir maintenant, car les filles voulaient aller se préparer pour la soirée. Véro et Marie débarquèrent chez les Stinco pendant que David et Pierre allèrent chez les Desrosiers. Lorsque Véro entra dans sa maison, elle constata qu’elle était plutôt vide. Elle remarqua que Jeff avait laissé un message sur le répondeur pour dire qu’il ne rentrerait pas de la journée, puis que ses parents étaient partis au restaurant et reviendrait que pour le coucher.
- On a qu’à monter, dit Véro, après avoir enlever son manteau et ses bottes.
- D’accord, répondit-elle, avant de suivre Véro jusqu’à l’étage, en emmenant le sac contenant sa robe spécialement pour la soirée.
- J’ai déjà hâte de savoir ce que David me réserve. Je n’ai jamais autant participé à la fête de la Saint-Valentin. Ça me rend plutôt bizarre.
- C’est pareil pour moi, répliqua Marie. Je ne me souviens pas y avoir accorder une grande importance à cette fête. C’est sûr que ça se fête plus en couple, alors c’est normal que je ne me sois pas trop préoccupé de ça avant.
- Ouais, c’est sûr, répondit Véro, en se frisant les cheveux.
- Ça te va bien les cheveux comme ça, dit Marie, en souriant. J’adore tes cheveux blond, ajouta-t-elle, en aidant Véro à les placer.
- Merci, répondit-elle simplement. Toi aussi, tu es très bien.
- Surtout très simple, je n’ai rien fait d’extraordinaire. En fait, à part ma nouvelle robe, je suis comme d’habitude.
- Puis, c’est très bien comme ça. Je ne te verrais pas tellement autrement. Tu es super jolie comme tu es et c’est parfait. Pierre va t’adorer. Puis, je l’ai toujours dit, le noir te va à merveille.
- Merci Véro, répliqua-t-elle, en la serrant dans ses bras.
- C’est normal, répondit Véro en haussant les épaules. Je me maquilles un peu et on y va, il ne faudrait pas faire attendre les gars, je viens de les entendre arriver.
- Ouais. Si ça ne te dérange pas, je vais descendre tout de suite. Je dirai à David que tu arrives bientôt.
- D’accord. Salut et bonne soirée, Marie.
Marie lui fit un sourire, puis sortit de la chambre de son amie pour aller rejoindre Pierre, qui venait d’arriver avec David.

Pierre conduisit jusqu’au restaurant qu’ils avaient choisi tous les deux. Il n’avait pas hésité une seconde à dire à Marie qu’il la trouvait magnifique, habillée de cette façon. Il alla lui donner la main pour se rendre jusqu’à l’intérieur du restaurant. Marie commençait à regretter d’avoir choisi une robe, car il faisait plutôt froid, mais au moins, Pierre la trouvait jolie comme ça. Ils mangèrent ensemble tranquillement et parlèrent pendant tout le repas. Ils prirent également le temps de manger un dessert, puis ils finirent par rentrer à leurs appartements. Marie n’y avait pas déposé les pieds depuis sa chicane avec Pierre et elle pouvait remarquer que Pierre avait fait tout décoré à nouveau. Marie trouvait ça très jolie, surtout qu’il y avait plein de cadre avec les photos de leurs amis. Celle qui était en haut du lit était une photo d’elle et de Pierre qui s’embrassait pendant la fête de Noël.
- C’est vraiment beau, ici ! S’exclama Marie, contente de voir l’appartement dans un tel état. Tu as vraiment beaucoup de goût.
- Je dois avouer que Véro m’a un peu donné l’idée, mais j’ai beaucoup travaillé pour obtenir ce résultat. Je suis aussi content de voir que ça te plaît.
- Tu n’étais pas obligé de tout faire ça pour moi, mais je suis très contente. Tu es génial, je t’adore !
Marie s’approcha pour embrasser Pierre. Ils s’embrassèrent pendant un long moment, puis Pierre décida de donner les cadeaux à Marie tout de suite. Il lui donna les traditionnelle fleurs et une jolie boîte de chocolat. Ce qui surpris vraiment Marie, c’est le bracelet en or. Il devait avoir été cher, car il était d’une beauté surprenante.
- Tu es tellement gentil ! Dit Marie, contente. C’est si jolie. Je t’aime tellement.
Marie serra Pierre dans ses bras et quelques larmes coulaient sur sa joue tellement elle était contente. Marie ne donna rien de bien spécial à Pierre, car elle n’avait pas les moyens de faire des folies, mais la simplicité de Marie plut beaucoup à Pierre. Après la remise des cadeaux, ils parlèrent pendant un moment de leurs chicanes et cela se finit par un très long baiser, qui s’allongea jusqu’à la nuit.
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MessageSujet: Re: épisode 25   épisode 25 EmptyJeu 16 Fév 2006 - 19:38

Véro s’affairait en haut, lorsque David vint la rejoindre.
- Ça te prend du temps, ma belle Véro ! Dit David, content de voir que Véro était prête.
- Je suis désolée, je voulais être bien prête pour ce soir. En même temps, te faire attendre, ce n’est pas si mal.
- Ça l’a vraiment value la peine que j’attende. Tu es magnifique, jolie déesse de la beauté ! Je n’arrive pas à comprendre comment tu peux être aussi belle en tout temps, c’est presque magique.
- C’est que je suis belle au naturel, répliqua Véro, en souriant. On peut y aller.
- Oui.
David offrit son bras à Véro, puis ils descendirent tous les deux. David poussa sa galanterie jusqu’à aller ouvrir la portière de Véro, ce qui la fit rire. Ils s’amusèrent à chanter jusqu’au restaurant, puis ils commandèrent assez rapidement. Véro et David ne connaissaient personne dans le restaurant, ce qui leurs permettaient de faire ce qu’ils avaient envie. Ils mangèrent assez légèrement, ils avaient encore tous les deux un pincement au cœur à cause du bébé qu’ils avaient perdu, mais ils ne prirent pas la décision d’en parler durant la soirée. Lorsque leur dessert fut terminé, Véro brûlait d’impatience, elle avait hâte de savoir en quoi consistait sa surprise.
- J’imagine que tu as hâte de savoir ta surprise, commença David.
- Oui, tu m’intrigues vraiment beaucoup.
- Et bien, viens.
Il lui donna son manteau et l’entraîna jusqu’à sa voiture. Véro croyait qu’ils allaient chez eux, mais ils passèrent tout droit. Lorsqu’ils passèrent devant leurs écoles, Véro ne comprenait vraiment pas où ils allaient, car il n’y avait pas d’hôtel dans ce coin là. En fait, il y avait presque juste des résidences.
- On va où ? Demanda Véro, qui commençait à s’inquiéter.
- Tu vas voir, se contenta de répondre David.
Lorsque David tourna dans une entrée de cours, Véro crut d’abord qu’il s’était trompé d’endroit. C’est lorsque David arrêta la voiture que Véro eut une petite idée de ce qu’était sa surprise. David ne parla pas et sortit de la voiture, suivie de près par Véro. Il monta les escaliers jusqu’à l’appartement du deuxième étage, puis ouvrit la porte et laissa rentrer Véro d’abord. Il ouvrit une lumière et Véro poussa un cri de surprise.
- C’est bien grand ici ! Je ne pensais pas que tu allais faire ça, dit Véro tout énervée. Tu as de la chance d’avoir ton appartement ! C’est vraiment cool.
- Véro, c’est NOTRE appartement ! Pas juste à moi. Si tu le veux, c’est sûr, c’est notre nouveau chez nous. C’est beau, n’est-ce pas ?
- Vraiment beau. Trop beau, presque. Puis, c’est sûr que je veux venir vivre avec toi, ici ! Oh David, c’est le plus beau cadeau que tu aies pu me faire, enfin non, car juste ton amour ça vaut bien plus. Enfin, tu comprends…
- Ouais, ne t’en fais pas. Puis, je t’ai entendu dire que tu trouvais ça grand et bien j’ai ta réponse. On va garder un bébé alors ça prend de la place, puis pour notre futur famille aussi.
- Tu as vraiment penser à tout ! Tu es vraiment génial ! Je t’adore.
Véro sauta dans les bras de David et l’embrassa. David la prit dans ses bras puis l’emmena jusque dans leurs nouvelles chambres, où il y avait déjà des meubles d’installer.
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