The time of a life
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The time of a life

Un forum sur une histoire grandement apprécier écrite par Marie et Véro, maintenant prise en charge seulement par Véro. Vous pourrez lire une histoire mixé avec les gars de Simple Plan adolescent et cinq adolescentes.
 
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 Épisode 29

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Véro
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Véro


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MessageSujet: Épisode 29   Épisode 29 EmptyLun 1 Mai 2006 - 20:47

Véro se réveilla dans les bras de David, toujours bien heureuse d’avoir réglé les choses qui la tracassaient tant. Elle se mordilla la lèvre, en pensant qu’il ne fallait plus qu’elle attende bien longtemps avant d’annoncer la grande nouvelle à David, mais elle en avait un peu peur. Elle se mit à se demander ce qu’il dirait, en l’apprenant. C’est vrai qu’ils avaient déjà parlé d’un tel sujet, mais elle ne savait pas si l’opinion de son amour avait changé. Véro se colla alors un peu plus sur le dos David, afin de le déranger un peu, espérant qu’il se réveille bientôt.
- Tu as froid ma belle ? Demanda David, en sentant le corps de Véro, sur le sien.
- Je croyais que tu dormais…
- Non, je suis réveillé depuis un petit moment déjà, puis j’attendais que tu te réveilles, ma belle Dorothée.
- Ça fait longtemps que tu ne m’as pas appelé comme ça, Peter Pan !
David se retourna alors complètement, pour être face à Véro, puis l’embrassa tendrement.
- Ça alors, tu es en forme ce matin, s’exclama Véro, après qu’il ait fini par le lâcher, plusieurs minutes plus tard.
- Ouais, effectivement ! C’est à croire que tu m’as manqué.
- Comment ça je t’ai manqué, demanda celle-ci.
- Simple, pendant que je faisais la connaissance de ta merveilleuse sœur, je n’ai pas eu assez de tes câlins et ça m’a manqué.
- T’es juste un pervers, après tout ! Tu fais juste penser à mes câlins, pas au reste bien sûr, répliqua Véro, pour l’agacer.
- Que veux-tu ? Je suis comme ça et puis, ça se trouve que tu es pareil à moi, alors toi aussi ça t’a beaucoup plus manqué que les autres choses, comme tu dis.
- Tu me connais trop bien, répliqua Véro.
David allait l’embrasser de nouveau, mais Véro se recula, pour aller s’habiller, se disant qu’il fallait bien bouger.
- T’es plate, dit alors David, se levant, bougonnant.
- Habille-toi ! Il faut qu’on aille voir Marie et Pierre.
- Pourquoi ? Demanda David.
- Il faut que j’aille la féliciter pour son futur bébé !
- T’es vraiment contente qu’elle ait changé d’idée, toi. Depuis qu’elle a rappelé hier, on dirait que ton sourire reste accroché et que tu n’es plus capable de t’en défaire.
- Je sais. C’est que je vais avoir un bébé de plus à gâter, répondit Véro.
- Un bébé de plus ? Répéta David, qui ne comprenait pas trop.
- Euh…ouais, c’est ça. Tu te souviens du bébé qu’on est supposé gardé ? Demanda Véro.
- Je l’avais légèrement oublié… Pourtant, ça fait un bout qu’on était supposé l’avoir vu celui-là.
- Tu veux dire celle-là. Ouais… En faits, c’est que une de mes tantes a chialé, elle n’aimait pas du tout l’idée que deux jeunes s’occupent du bébé de sa sœur. Alors, c’est elle qui s’en occupe, mais nous allons l’avoir la fin de semaine prochaine quand même.
- Ah.
- Enfin, si ça te dérange trop, je peux l’appeler pour lui dire que ça ne fonctionnera pas.
- Au contraire ! J’ai hâte de pouvoir le gâter ce petit bout de femme là ! Tu sais, j’ai vraiment hâte qu’on ait nos propres bébés pour que je puisse leur montrer comment être un vrai enfant tannant, pour te donner encore plus de trouble.
- C’est presque gentil ce que tu dis là. Enfin, ça sera bien notre tour un jour…
- T’es un peu bizarre, je trouve.
Véro haussa les épaules, puis sortit de la chambre à coucher, afin d’aller préparer le petit déjeuner.

Marie se réveilla avec des nausées épouvantables, qui la força à se lever subitement. Pierre avait remarqué le départ de Marie et s’était levé à son tour, se demandant un peu ce qui se passait, puisqu’il était encore fatigué. Il resta debout devant la porte de la salle de bain, qui était ouverte et aperçut Marie assise sur le plancher froid de la salle.
- Ça n’a pas l’air d’aller, dit alors Pierre, en allant s’asseoir près d’elle.
- Je sais, dit alors Marie. J’ai seulement des nausées, ce n’est rien.
- Je ne cherche pas à te contredire, mais j’ai un peu l’impression que d’autres choses te tracassent…
- Peut-être, répondit Marie, en haussant les épaules. Enfin, c’est juste une impression, car ça va.
- Si tu le dis. Enfin, s’il y a quelque chose qui ne va pas, il ne faut absolument pas que tu te gênes à me le dire !
- Je me demandais peut-être…si tu étais certain que c’était la bonne décision de garder le bébé.
- Je te l’ai dit hier, je suis certain de ma réponse, alors c’est encore pareil aujourd’hui.
- C’est que pour moi, c’est une décision tellement importante ! Tu sais, cela va vouloir dire que tu ne pourras pas vraiment continuer avec ton groupe comme tu le voudrais.
- Je sais tout ça Marie, mais je te jure que j’y ai assez réfléchit pour savoir ce que je fais.
Marie ne répondit pas et posa une main, plutôt tremblante, sur son ventre, qui s’était légèrement arrondi.
- Tu sais que tu es belle ?
- Je ne sais pas. Il me semble que tu ne me le disais plus très souvent, répliqua Marie, sans trop de sérieux.
- C’est bien trop vrai, dit-il alors, avant de l’enlacer de ses bras. Alors, t’es belle, t’es belle, t’es belle. Puis, tu sais quoi ? T’es vraiment la plus belle de toutes les filles que je connaisse !
- Merci, mon amour. Toi par contre, ce n’est pas pareil.
- Ah bon ?
- Non, toi t’es beau, beau, beau, beau comme un dieu !
- Ah comme t’es gentille toi, dit-il après l’avoir embrassé dans le cou. Viens, on va aller se recoucher, il est vraiment tôt.
Marie regarda alors la petite horloge dans la salle de bain et constata qu’il était 4:30 du matin.
Jessy avait passé l’avant-midi à jouer de la guitare dans sa chambre, car ses parents étaient partis faire des courses très tôt, alors Jessy avait pu en profiter pour mettre le son très fort. Elle dû tout de même arrêter, car elle eut un intense mal de tête, qui la força à aller prendre un comprimé. Lorsqu’elle allait allumer la télévision, elle entendit sonner à sa porte. Elle se déplaça alors pour aller ouvrir, se disant que ses parents n’auraient pas sonné si c’était eux. Jessy resta surprise en voyant un jeune garçon devant sa porte.
- Ton visage me dit quelque chose, mais pas plus que ça, dit alors Jessy.
- Je suis le cousin de David, Jonathan et euh…je voulais aller le voir, mais il y a personne chez les Desrosiers…
- Ses parents doivent être aller quelque part, ce matin.
- Ouais, mais Marie n’était pas là non plus. Ils n’avaient pas de voyage ou quelque chose du genre ?
- Non, c’est que Marie ne vit plus chez ses parents, lui dit Jessy. Je croyais que tu étais au courant.
- Ah non…
- Ouais, elle vit maintenant avec Pierre, son chum. Sinon, David doit être chez lui, à son appartement. C’est bien lui que tu veux voir, alors vas chez lui, tu as plus de chance de le trouver.
- David Desrosiers, tu dis. Il est en appartement !
- Oui. Avec Véro…
- Ah oui. Véro… Je sais qui c’est.
- J’espère bien que tu le sais, répliqua Jessy, se souvenant de ce qui c’était passé au retour de Véro, alors qu’elle avait été surprise avec lui. Je ne pensais pas que je finirais par te voir.
- Laisse-moi deviner, Véro a parlé à tout le monde de ce qui s’est passé au centre de ski…
- C’est une longue histoire, mais dis-moi, comment savais-tu où je restais ? Demanda Jessy.
- J’ai croisé une fille, qui m’a conseillé de venir te voir, car tu savais probablement où je pourrais trouver David, car elle ne le savait pas. Jolie fille, en plus.
Jessy fronça les sourcils.
- Elle t’a dit son nom ? Demanda Jessy.
- Ouais, Allison…
- Si tu veux mon avis, arrange-toi pour ne plus jamais la revoir. Quant à moi, je vais t’écrire l’adresse de David, ça ne sera pas trop long.
Jessy alla dans le salon pour aller prendre un papier et un crayon, puis elle lui laissa l’adresse et le numéro de téléphone de l’appartement de David.
- Merci Jessy, répliqua Jonathan.
- J’imagine que c’est Allison qui t’a dit mon nom.
- Exact. Salut jolie demoiselle, dit-il avant de sortir à l’extérieur.
Jessy le regarda partir, puis quitta l’entrée pour aller appeler David, afin de le prévenir qu’il aurait de la visite, mais c’était engagé lorsqu’elle téléphona les deux fois. Jessy se dit alors que David le verrait bien lorsqu’il serait rendu chez lui, puis le fait que c’était occupé, prouvait qu’il était bien chez lui.

Géraldine se réveilla avec une forte envie de se faire prendre par Sébastien. Elle ne savait pas trop pourquoi, mais c’était la première fois que c’était aussi fort, alors qu’il était couché à côté d’elle. En fait, Géraldine venait de faire un cauchemar épouvantable, qui était que Sébastien la quittait pour une autre fille, Géraldine était tellement triste qu’elle avait fait un accident de voiture, puis plus rien, elle s’était réveillée. Son cœur battait maintenant la chamade, elle essaya de se calmer, mais elle ne put retenir son geste, de se coller sur Seb, qui semblait très bien dormir. Elle fut tout de même soulagé, qu’il se réveille doucement et qu’il lui fasse un beau sourire, en la voyant.
- Bien dormi, beauté ? Demanda Seb, en passant un bras autour des épaules de sa belle.
- En grande partie, oui, mais je me suis réveillée après avoir fait un terrible cauchemar et j’ai vraiment détesté ça.
- Pauvre chouette. Ce n’est jamais cool de faire de mauvais rêves, ma jolie. Enfin, raconte-moi, ensuite, tout ira mieux.
Géraldine lui raconta alors tout son rêve, puis Sébastien ne se moqua pas du tout. En fait, il réussit très bien à la rassurer et à la faire sourire. Géraldine était bien contente d’avoir une aussi belle complicité et que tout aille bien avec Sébastien. Parfois, il lui arrivait de se demander si Sébastien lui en voulait encore d’avoir fait confiance à Joël avant lui, mais elle finissait toujours par penser à autres choses de plus important et à ne pas s’en faire trop longtemps.
- On fait quoi aujourd’hui ? Demanda alors Géraldine.
- C’est à croire que tu as oublié, dit alors Seb, voyant que Géraldine faisait exprès. Tu sais, c’est aujourd’hui que je te présente à mon incroyable famille !
- Ah vraiment ? Demanda-t-elle.
- Ouais, je te le dis.
- Je ne savais pas que ta famille était si incroyable !
- Ah. Je ne sais pas, en vrai. Elle est incroyable, car c’est ma famille à moi, sinon je ne vois pas comment.
Géraldine se mit alors à rire, et frappa Seb avec son oreiller, ce qui débuta une longue bataille d’oreiller, suivi de longues minutes de baiser très intense. C’est finalement la mère de Seb, qui vint les interrompe, pour leur dire de se préparer, s’ils voulaient arriver à l’heure chez ses parents. Géraldine se leva alors et alla fermer la porte avant de s’habiller convenablement, pour bien paraître devant la famille de Seb.
- Ça alors Gege ! Tu ne te ressembles pas comme ça !
- Ah non ? Pourtant, j’ai déjà mit ces vêtements pleins de fois.
- C’est vrai, tu as raison…
- Alors, dis-moi, pourquoi tu as dit ça ? Demanda Géraldine, en fronçant les sourcils.
- J’en avais tout simplement envie, c’est tout, répliqua Seb, en haussant les épaules. En faites, il y a quelque chose qui te change, mais je n’arrive pas à savoir quoi.
- Ah d’accord ! Tu me le diras lorsque tu auras trouvé.
- Ne t’inquiète pas, je comptais le faire. Sinon, tu es très jolie ! Ils vont t’adorer, c’est certain.
- Tu crois vraiment ?
- Oui ! Je ferai mieux de surveiller mes cousins, d’ailleurs, car ils vont vouloir s’essayer avec toi !
Géraldine se sentit un peu rougir, ce qu’elle trouva bizarre, car ce n’était pas la première fois que Seb la complimentait. Enfin, elle lui dit merci, puis l’embrassa tendrement, avant de descendre avec lui à la cuisine, où sa mère avait préparé le petit déjeuner.

David était bien assis dans le salon, pendant que Véro décida d’appeler Marie.
- Coucou chouette, dit alors Véro, en entendant la voix de son amie.
- Ah salut toi ! Ça va ?
- Ouais. Toi ?
- Assez bien, répondit Marie. Enfin, je me suis réveillée avec des nausées, mais ça va mieux.
- C’est normal que ça fasse ça les premiers temps. Alors, t’es toujours sûr que c’est la meilleure idée que tu as eu ?
- Oui. On en a parlé, moi et Pierre, ce matin, puis on est bien décidé. Tu avais raison, je devais bien y réfléchir et si j’aurais avorté, je l’aurais bien regretté. Enfin, on verra ça quand il se montrera le bout du nez.
- Ouais. J’ai bien hâte de le voir ce bébé là !
- Pas plus que moi, répliqua Marie, qui souriait, en regardant Pierre.
- Tu ne sais pas. Après tout, j’ai toujours rêvé de câliner un petit bébé. Surtout celui de ma meilleure amie.
- Tout cas, dis-moi ce que tu as, car tu es vraiment plus de bonne humeur qu’à l’habitude. Attends ! Je sais, tu l’as fait ce matin avec Dav.
- C’est une réalité, ouais, mais il n’y a pas que ça.
- Quoi d’autres ? Demanda Marie, en riant avec Pierre, après qu’elle ait fait une grimace en imaginant David et son amie.
- Je ne peux pas te le dire avant d’avoir prévenu David…
- Ah bon. Tu m’intrigues.
- Enfin, tu sais quand même que ça me rend heureuse, alors il n’y a pas trop d’inquiétude à avoir.
- Non, je ne pense pas.
- Écoute, je parlerais plus longtemps, mais David me supplie d’aller le rejoindre au salon.
- Ça alors, mon frère qui te supplie ! On aura tout vu. Je sais que vous êtes fiancés maintenant, mais j’ai encore dans la tête que quand on était jeune, il n’arrêtait pas de t’énerver.
- Enfin, je me souviendrai toujours du Dorothée, mais ton frère a quand même vieillit depuis ce temps.
- Ouais, je commence à te croire, répliqua Marie, après avoir un peu rit. Sinon, n’attends pas trop pour l’annoncer à mon frérot, j’ai hâte de savoir la nouvelle, moi.
- D’accord, répliqua Véro, avant de lui dire salut et de raccrocher.
Elle se dirigea ensuite vers le salon, afin de dire à David ce qu’elle voulait tant lui dire depuis déjà une semaine. David ne la laissa pas parler et montra son manque d’affection, en commençant à embrasser sa Véro.
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MessageSujet: Re: Épisode 29   Épisode 29 EmptyLun 1 Mai 2006 - 20:47

Marie, elle, alla raconter à Pierre un résumé de la conversation avec Véro. Pierre et elle dirent des hypothèses de grandes nouvelles, qui pourrait rendre si heureuse Véro, mais ils finirent pas décider que de s’embrasser était bien plus plaisant.
- Tu sembles prendre goût à m’embrasser longtemps, Pierre.
- Ouais. Pourquoi, il y a un problème ?
- Si ton but est de faire le record du plus long baiser, ce n’est pas avec moi que ça risque de marcher.
- Ah non ? Demanda-t-il, avant d’embrasser Marie de nouveau.
Marie l’arrêta un peu après.
- Le problème est qu’on dirait que je respire pour deux, alors il faudrait diminuer les longs baisers, expliqua Marie.
- Je ne savais pas, alors se sera des milliers de baisers plus court, répliqua Pierre, en soulevant le chandail de Marie, pour embrasser son ventre.
- Je trouve ça drôle que tu fasses ça.
- Bah quoi ? J’embrasse notre bébé, il y a droit aussi, tu sais.
Marie sourit alors à la remarque, puis ajouta.
- Je sais très bien, mon amour. Je trouvais juste ça mignon que tu fasses ça.
- Alors, je recommencerai à chaque jour, tu n’as pas à t’inquiéter, je m’occuperai bien de ma progéniture.
- Ta progéniture ! Tu pourrais dire ton bébé, ton enfant ou autres, mais là, ta progéniture.
- C’est quand même vrai, mais si tu préfères, je m’occuperai bien de cet enfant…
- Ouais, je préfère, répliqua-t-elle, un petit sourire accroché aux lèvres. Sinon, on fait quoi ?
- Ce que tu veux, mon ange.
- Je ne sais pas. On pourrait aller magasiner un peu, si tu veux, proposa Marie.
- Si tu te sens en forme, mais sinon on peut tout simplement rester à la maison.
- Tu me dis que l’on peut faire ce que je veux, puis après tu me dis que si je suis fatiguée, on peut rester à la maison. Avoue que tu veux me garder pour toi tout seul !
- C’est vrai, mais je disais ça juste parce que j’ai déjà entendu qu’il fallait faire attention les premiers temps de la grossesse.
- Tu sembles informé, mais ça ira, répliqua Marie, en se levant pour aller se préparer.
- Parfait.
Pierre et Marie partirent donc en direction du centre ville, avec l’idée de passer la journée dans les boutiques, en quête de trésors pour le futur bébé.

Jessy avait complètement oublié la venue de ce Jonathan, lorsque Chuck était arrivé pour qu’ils passent beaucoup de temps ensemble. Jessy était tellement contente d’être dans les bras de Chuck et se sentait en forme, pour une fois depuis un bon bout de temps. Elle savait très bien qu’elle inquiétait ses amis avec ses maux de tête, mais ça l’énervait aussi. Ils ne pouvaient pas comprendre ce que c’était sans le vivre, la douleur est tellement pénible qu’elle ne souhaite à personne de vivre pareil à elle. C’est pourquoi, elle prenait autant d’aspirine, sans trop de remords pour essayer d’oublier un peu ce qui lui arrivait.
- T’es toute belle comme ça, dit Chuck, en lui caressant les cheveux.
- Comment ? Demanda Jessy.
- Avec des belles couleurs sur ton visage. Ça te va bien le rosé.
- Ça prouve que le printemps est arrivé et que les grandes chaleurs arrivent, répliqua Jessy.
- C’est le moment que j’adore le plus.
- Comment ça ?
- Parce que, en général, les filles commencent à s’habiller par rapport à la température et euh…j’aime bien. Le truc est que c’est juste toi que j’adore !
- C’est gentil ça.
Chuck lui sourit, puis l’embrassa un long moment.
- Si on allait manger un petit quelques choses, proposa-t-il, espérant que Jessy ne dise pas qu’elle n’avait pas faim.
- Je ne sais pas trop.
- Allez, ça nous ferait du bien ! J’ai drôlement faim, moi.
- Il est quel heure au fait ?
- Presque six heures du soir, déjà. Ça serait bon ce commander des sushis. Tu ne crois pas ?
- Ouais, peut-être.
- Tu n’as pas faim ? Demanda Chuck, qui voyait que Jessy ne semblait pas enthousiasme.
Jessy réfléchit alors un moment, Chuck semblait vraiment s’inquiéter sur si elle avait faim ou pas. Alors, elle devina que se serait mieux de lui dire qu’elle avait plus ou moins faim, même si elle n’avait pas du tout de le goût d’avaler quoi que se soit.
- Ouais, ça serait bien manger un petit quelques choses, répliqua Jessy.
- Des sushis alors ?
- Ouais. Seulement, je n’ai pas une énorme faim, non plus.
- T’inquiète, ma belle, je ne commanderai pas de la nourriture pour une armée.
- Merci, c’est cool ! Répliqua Jessy, en regardant Chuck quitter la chambre pour aller passer une commande, après tout, ils étaient chez lui.
Elle descendit seulement quelques minutes après Chuck. Elle avait décidé de passer par la salle de bain avant, pour replacer un peu ses cheveux. Heureusement que Géraldine gardait sa brosse dans la salle de bain, se dit Jessy, en prenant place auprès de Chuck, pour attendre le livreur.

Géraldine et Seb arrivèrent devant la maison des grand-parents de Seb, où avait lieu la petite réunion familiale. Géraldine se sentait un peu stupide d’être inclus dans cette réunion, mais la mère de Seb avait prétendu le contraire, lui disant que ça faisait assez longtemps qu’elle était avec Seb, qu’elle pouvait maintenant se considérer comme une membre de la famille. Géraldine en était très contente, mais elle restait tout de même un peu gênée d’être dans une telle situation. Heureusement, lorsqu’elle entra, la maison était pratiquement vide. Il y avait que trois personnes assises autour d’une grande table, dans une immense cuisine. Géraldine se demanda même si cette maison avait été une maison de personne noble dans le temps.
- C’est vraiment beau ici, glissa-t-elle à Seb, après qu’il lui ait présenté ses grand-parents et sa tante.
- Ouais, c’est vrai. J’ai toujours trouvé ça très beau, moi aussi. Surtout très grand.
- Tu as raison.
Géraldine sourit, avant de remarquer que trois autres personnes venaient de s’installer auprès de la table.
- Alors, c’est elle, ta blonde, dit un jeune garçon, qui venait de s’asseoir auprès de Seb.
- Ouais, répliqua Sébastien, assez fièrement.
Sébastien se tourna alors vers Géraldine.
- Je te présente mon cousin, Daniel.
Puis, se retourna pour faire face à son cousin.
- Puis, ma blonde, c’est Géraldine Comeau.
- Comeau… Ça me dit quelques chose, dit alors Daniel, en réfléchissant où il aurait pu entendre ce nom.
- Ouais, c’est la sœur de Chuck… Je ne me souvenais plus très bien de lui non plus, il est partit du Québec pour aller en France assez jeune.
- Ah ouais. Je me souviens de ce petit bonhomme, mais c’est normal j’étais plus vieux. La belle Géraldine n’était pas encore née, dit Daniel.
- Non, pas encore, approuva Géraldine. Je suis effectivement née en France. Enfin, je suis ravis de te connaître, Daniel.
- Moi de même, répliqua Daniel, de façon à montrer qu’il avait aussi de bonnes manières.
Géraldine discuta une bonne partie de la journée avec Daniel, Seb et Katherine, la sœur à Daniel. Elle trouva la famille de Seb ultra gentille. Puis, ce qui la surpris le plus, c’est lorsque Seb se leva et demanda toute l’attention de sa famille et qu’il déposa un genou en terre. Géraldine avait les yeux ronds et brillants, lorsque Seb sortit une petite boîte de sa poche et fit une demande à Géraldine.
- Oui, répondit Géraldine, après de longues minutes, sous l’effet de surprise.
- Je t’aime tellement ! Lui dit alors Sébastien, en lui passant la jolie bague au doigt, avant de se lever pour la prendre dans ses bras.
Sébastien avait eu peur de la réponse de Géraldine avec la réaction qu’elle avait eu, car elle ne parlait pas du tout. Il avait avaler sa salive difficilement et avait le souffle coupé, mais lorsqu’elle lui avait dit un « Oui. », il était comme délivré d’un poids. Ça faisait tellement longtemps qu’il y pensait et qu’il s’imaginait la situation par la suite. Il était tellement content du résultat, il serait partit en courant, crier sur tout les toits comme il était content, s’il n’avait pas l’air d’un idiot en le faisant. Toute la famille de Seb vint alors les féliciter, puis un peu plus tard, ils repartirent en direction de la maison de Seb, Géraldine avait eut l’idée de rester à coucher, pour faire durer la super belle journée plus longtemps.
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MessageSujet: Re: Épisode 29   Épisode 29 EmptyLun 1 Mai 2006 - 20:48

Marie avait finalement acheter une simple petite peluche, mais qu’elle trouvait tellement jolie. Pierre, lui, avait décider de payer une jolie chaîne en or à Marie, pour lui dire combien il l’aimait.
- C’est toujours amusant de magasiner avec toi, dit alors Pierre.
- Ah oui ? Répliqua-t-il. Pourtant, je suis un gars et je ne suis pas extraordinaire en matière de goût de mode.
- Pas grave ça. Ce n’est pas ce qui rend la journée plaisante, Pierre. C’est qu’avec toi, je ne vois pas le temps passé, c’est toujours drôle, toujours bien.
- Je trouve ça aussi. On s’entend pas mal toujours sur tout, alors c’est merveilleux.
Marie approuva Pierre, en lui faisant un signe de tête positif, suivi d’un câlin affectueux.
- J’ai vraiment hâte de l’avoir ce bébé là, dit alors Marie.
- Tu devras être patiente, ma belle, c’est dans encore longtemps.
- Oui, je sais. Au moins, j’ai l’avantage de patienter à deux, puisque tu es avec moi.
- Tu n’as pas à t’inquiéter pour ça, je serai toujours là pour toi ! Toujours, Marie, car je t’aime trop et je ne me vois pas sans toi.
Marie alla alors dans la chambre, suivi de Pierre, puis remarqua une feuille de papier, indiquant la fête de finissant à la fin de l’année.
- C’est cette année qu’on fini, dit alors Marie.
- Ouais et je dois avouer que j’ai très hâte. Je commence à en avoir assez de l’école !
- Oui, moi aussi. Enfin, on y va à la fête ? Demanda Marie, incertaine de l’envie de Pierre d’aller à la fête.
- C’est pour toi, mais ça finaliserait bien l’année. Je trouve.
- Oui, c’est vrai, approuva Marie. J’avais également envie d’y aller, mais je voulais te demander ton avis avant. Puisque je ne me vois pas y aller avec quelqu’un d’autres que toi.
- Je l’espère bien, répliqua Pierre, avant de coucher Marie sur le lit, puis de l’embrasser tendrement.
Ils finirent par s’endormir quelques heures plus tard.

Jessy et Chuck mangèrent avec appétit, même si Jessy se forçait un peu devant Chuck pour qu’il ne pose pas trop de questions. Elle se leva quand même avant Chuck, qui lui semblait avoir très faim, car le téléphone venait de sonner.
- Va répondre, lui dit Chuck, alors qu’il venait de prendre une bouchée.
- Ouais, répondit Jessy, riant un peu de la manière que Chuck lui avait parlé, la bouche à moitié pleine.
Elle courut pour aller prendre le téléphone, puis constata que c’était Géraldine, elle semblait vraiment de bonne humeur.
- Ça va toi ? Demanda alors Jessy. C’est presque à croire que tu as gagné le gros lot !
- C’est presque ça ! Répliqua Géraldine.
- Tu savais que j’étais ici ? Demanda Jessy.
- En faites, j’ai appelé chez toi avant, donc ta mère me l’a dit que tu étais ici. De toutes manières, je m’en doutais !
- Ouais, mais dis-moi ce que tu veux me dire ! Cria Jessy, trop curieuse.
- Je reviens de chez la famille à Seb et euh…voilà, on est fiancés !
- Pour vrai ? Répliqua Jessy, surprise par la nouvelle.
- Oui ! C’est vraiment vrai. Je dois avouer que j’avais de la difficulté à le croire moi-même, mais c’est vraiment vrai ! Je ne rêve pas ! Je suis tellement contente, si tu savais, ma belle Jess.
- Ah je te crois. À t’entendre parler, je le sais que tu es très heureuse et je le suis vraiment pour toi. Attends une petite seconde, dit-elle alors.
Jessy déposa le téléphone, puis cria à Chuck la grande nouvelle, il se précipita alors pour prendre le combiné et dire félicitations à Géraldine.
- Bravo, ma chouette ! Dit alors Chuck. Je suis contente pour toi, petite sœur.
- Merci, Chuck !
- Tu diras à Seb que si jamais il décide de te sacrer là, il aura affaire à moi, dit alors Chuck, prenant Jessy par la taille.
- J’y dirai. Sinon, si ça ne te dérange pas trop, je vais raccrocher, je vais appeler les autres, mais après je vais peut-être aller dormir…
- Ah je vois. Alors bonne nuit Gege, lui dit Chuck.
- Ouais bonne nuit ma Gege, cria Jessy, pour que son amie entendre.
Chuck raccrocha le combinée pour ensuite prendre Jessy dans ses bras et l’embrasser longuement.
- Je t’aime, lui dit-il.
- Moi aussi. Je t’aime tellement !
Jessy et Chuck montèrent alors à l’étage, où ils s’embrassèrent longuement, avant de s’endormir profondément.

Véro et David s’embrassaient depuis déjà vingt bonnes minutes et ni un ni l’autre avait envie d’arrêter, mais Véro attendait depuis trop longtemps pour sa nouvelle, elle n’était plus capable d’attendre, alors elle repoussa gentiment David, puis s’installa plus confortablement. David fit de même, puis se mit face à Véro, devinant qu’elle avait quelque chose d’important à dire.
- Je t’aime, dit alors Véro.
- Moi aussi, ma belle, mais j’ai l’impression que tu n’as pas arrêté pour me dire simplement ça.
- Non, effectivement, dit alors Véro.
- Tu m’inquiètes…
- Arrête de parler un peu, car ce n’est pas facile. Tu me stress.
- Ok.
Véro respira quelques minutes, puis se lança.
- Je suis enceinte, dit alors Véro.
- T’es enceinte !!!!! Répéta David, les yeux devenus ronds comme des dollars.
Véro ne dit plus rien, mais acquiesça d’un signe de tête positif.
- C’est ça, je suis enceinte.
- Depuis quand tu le sais ? Demanda alors David, ne sachant pas trop quoi dire.
- En faites, j’ai eu un drôle de pressentiment le lendemain de la Saint-Valentin… Ça s’est concrétisé il y a quelques semaines, car j’ai eu des nausées et euh…voilà j’ai fait un simple test de grossesse et je l’ai su tout de suite. Ça fait déjà une semaine que je le sais.
David compta rapidement, ça faisait presque déjà un mois depuis le soir de la Saint-Valentin, où ils avaient fait l’amour sous l’effet de l’alcool. Ils avaient dû oublier tout moyen de contraception.
- Je ne sais pas quoi dire, dit alors David.
- Tu n’es pas content ? Demanda alors Véro, maintenant incertaine.
- Ce n’est pas ça, laisse-moi le temps de prendre la nouvelle !
Véro respecta le silence de David, mais elle en avait assez, alors elle se leva, mais David lui attrapa le bras, pour qu’elle se rassoit près de lui.
- Je t’aime, Véro, lui dit-il. Je t’ai aimé depuis ton premier souffle et je sais que ça sera toujours ainsi. Le destin a fait que tu es tombées enceinte et que tu les as perdu, cela a servi que l’on se rapproche et qu’on comprenne que nous étions fait l’un pour l’autre. Maintenant, on est chez nous, on va fêter la fin d’année dans environ deux mois. Puis, depuis que tu m’as dis que l’on aurait pu avoir des enfants, tous les deux, j’y pense tous les jours et j’ai eu assez de temps pour comprendre que c’était ce que je voulais. Je t’aime.
- J’ai tellement eu peur, dit alors Véro, les larmes aux yeux.
- J’imagine. Je peux comprendre. Enfin, ma belle, je ne sais pas si c’est la meilleure solution à long terme, mais peu importe, je veux tout faire avec toi, y comprit une famille.
- Moi aussi. Je ne me vois pas avec personne d’autres qu’avec toi. Je t’aime trop pour penser à un autre.
- En plus, le bébé de ma sœur aura quelqu’un avec qui s’amuser.
Véro ne put se retenir et se jeta dans les bras de David. Ce qu’elle ne lui avait pas dit sur le coup, c’est qu’elle avait fait exprès de ne pas prendre la pilule cette journée là. Elle avait un peu aidé le destin et elle ne le cacha pas à David, qui n’en fit pas un cas, il en était même content. Ils parlèrent de leurs avenirs pendant toute la nuit et décidèrent qu’ils préviendraient les autres que le lendemain. Ils devaient faire durer le moment juste à eux, car avec un enfant, se serait différent. Alors, ils passèrent la nuit à parler, à se caresser, à se chatouiller, à faire l’amour, à pleurer et à rire, se remémorant ce qu’ils étaient plus jeune, leur rencontre et s’imaginant l’avenir. Ils finirent par s’endormir au petit matin, chacun une main sur le ventre de Véro, à rêver de ce petit qui viendrait au monde dans un peu moins de neuf mois.
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