The time of a life
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The time of a life

Un forum sur une histoire grandement apprécier écrite par Marie et Véro, maintenant prise en charge seulement par Véro. Vous pourrez lire une histoire mixé avec les gars de Simple Plan adolescent et cinq adolescentes.
 
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 Épisode 30

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Véro
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Véro


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MessageSujet: Épisode 30   Épisode 30 EmptyDim 28 Mai 2006 - 13:04

Jessy se réveilla dans les bras de Chuck avec un petit sourire aux lèvres. Elle venait de faire un rêve des plus enchanteurs, des plus merveilleux et eu le pressentiment qu’un jour, ça allait se réaliser et peut-être plus tôt qu’elle l’espérait. Enfin, elle chassa ces belles images de sa tête pour se concentrer un peu plus sur le présent. Jessy sourit alors en voyant le sourire de Chuck se dessiner, alors qu’elle l’embrassait doucement dans le cou.
- Ça me donne toujours des frissons quand tu fais ça comme ça, dit alors Charles, toujours un sourire aux lèvres.
- Alors, je suis loin d’être prête à arrêter ça, c’est comme une drogue pour moi, t’embrasser.
- Ça tombe bien, moi aussi. Au moins, ce n’est pas une drogue qui cause des problèmes et on la partage à deux, c’est merveilleux !
- Ouais, tu as raison, répliqua Jessy, avant de recommencer à embrasser tendrement Chuck.
- As-tu pensé au bal de finissant ? Demanda alors Chuck.
- Ouais, un peu. Pourquoi tu me demandes ça maintenant ?
- J’ai peut-être une petite idée en tête…
- Ah non ! Tu fais exprès de m’intriguer là et je gage n’importe quoi que je ne saurai pas la réponse avant la fin de l’année !
- T’as tout pigé, mon amour, répliqua Chuck, un sourire au coin des lèvres.
- Ce n’est pas cool ça ! Tu sais comment je suis curieuse et impatiente, de me faire attendre longtemps comme ça, ce n’est pas correct.
- Ne dis pas n’importe quoi, je sais très bien que tu es très patiente ! Enfin, ça te fera encore plus plaisir si tu dois attendre pour avoir la surprise. Crois-moi.
- Ouais, c’est bon, se résigna Jessy, avant de se laisser emporter dans un long baiser.
Jessy et Chuck s’embrassèrent encore un bon moment avant de décider d’aller manger leur petit déjeuner. Ils se firent une assiette complète, contenant des œufs, du bacon, du jambon, du pain et un bon grand verre de jus d’orange, ce qui rendit encore plus de bonne humeur le jeune couple. En plus de cela, ils avaient la maison à eux tout seul. Il y avait bien sûr l’école dans quelques heures, mais ils étaient capable de passer la journée sans problème, juste avec un super beau réveil. Il restait maintenant que deux semaines d’école, mais se serait les deux plus longues et plus dur de l’année, dû aux gros examens. Jessy et Chuck se rendirent donc à l’école avec un sac bien remplit et bien reposé afin de recevoir le plus d’information possible.

Géraldine se réveilla, elle était maintenant dans sa maison, couchée près de son fiancé. Elle avait eu déjà un mois à s’habituer à être la fiancée de Sébastien, mais elle trouvait tout de même ça étrange quand les gens l’appelait « Madame Lefebvre ». Géraldine aimait bien ce statut, car cela l’avait énormément rapproché de son amoureux, mais aussi de Véro et de David, car puisque c’était les deux seuls couples à être officiellement fiancés, ils se faisaient souvent des sorties à quatre. Ils s’amusaient énormément tous les quatre et Géraldine en était contente. Elle adorait lorsqu’elle réussissait à tisser des liens très fort avec ses amis et c’était déjà le cas avec Jessy, maintenant avec David et Véro, mais bien entendu avec son amoureux. Elle passait maintenant presque tout son temps à ses côtés et ils se connaissaient jusque sur le bout des ongles. Géraldine n’avait jamais été aussi proche d’un gars auparavant, mais elle en était drôlement ravis. Surtout que jusqu’à présent, il y avait toujours les frissons des premières caresses ou encore les étincelles dans leurs yeux alors qu’ils se regardaient intensément. Géraldine en était même persuadée que c’était réciproque, même chose du côté de Sébastien. Ils se le disaient souvent et ils savaient tous les deux que ce qu’ils se révélaient, c’était toujours de façon très honnête. Alors, quand Sébastien revint, après avoir été à la toilette et s’être habillé, Géraldine le regarda avec son fameux beau sourire qu’elle a à tous les matins. D’ailleurs, Géraldine ne se souvenait pas de la dernière fois qu’elle n’avait pas sourit de la journée ou encore qu’elle avait été triste.
- Ça va ma beauté ? Demanda Sébastien, en s’approchant près de Géraldine, pour mieux la regarder.
- Super bien, mon amour ! Et toi ?
- C’est super, alors ! Puis, moi, je vais toujours aussi bien. Ah ma Gege, ça me fait tellement de bien être à tes côtés.
- Et moi dont !
Géraldine fit un dernier sourire avant de se lever afin de se préparer pour les cours. Elle prit quelques secondes pour contempler son alliances, puis se dirigea à la cuisine pour aller seconder Seb à la cuisine. Il avait prit l’habitude de faire le petit déjeuner, tandis que Géraldine s’occupait des lunchs et des souper, si leurs parents n’étaient pas présent ou ne l’avaient pas encore fait. Sébastien arrivait même à se demander pourquoi ils n’iraient pas s’installer en appartement maintenant, comme David et Pierre. Il ne le savait pas, mais il se disait que ça viendrait quand ça serait le moment, pour l’instant, il était trop bien pour parler de changements.
- Alors Gege, crois-tu que tu seras prête pour tes examens ? Demanda Seb, alors qu’il essuyait les quelques morceaux de vaisselles qu’ils avaient utilisé.
- Je crois bien que oui. Enfin, je l’espère.
- Je suis certain que ça ira, mas belle. Puisque tu es vraiment douée pour tout !
- Ça ne veut rien dire, mais merci !Toi, par contre, tu n’es pas doué pour tout, côté notes, tu fais drôlement pitié. Une chance que c’est totalement le contraire pour le lit, sinon ça ne serait pas long que j’aurais été voir ailleurs !
- Tu n’es pas très drôle, madame parfaite !
- C’était un compliment de façon détourné, je te ferai remarqué, répliqua Géraldine, en lui faisant un clin d’œil.
- Je sais. Enfin, lève-toi madame parfaite, on doit partir pour l’école !
- Depuis quand tu m’appelles madame parfaite ? Parce que je te ferai remarqué que personne n’est parfait.
- Je sais, mais toi si. Enfin, je crois que c’est depuis ce matin de je t’appelle comme ça.
Géraldine allait répliquer, mais Seb l’en empêcha, en allant l’embrasser sur les lèvres, avant de se diriger à l’entrée pour prendre son sac. Heureusement, ils n’avaient plus besoin de manteaux, car il faisait très chaud dehors.
- Ça fait drôlement du bien de pouvoir sortir dehors et qu’on n’ait pas l’impression de rester glacé dans l’entrée de notre maison.
Sébastien ne put s’empêcher de rire.
- Tu me feras toujours rire, petite française !
- Toi, sors de la maison avant que je te fasse regretter de me donner des surnoms ridicules !
- Le pire, c’est que tu adores ça, répliqua Sébastien, tout en riant, lorsque Géraldine fit mine de se fâcher, avant de se mettre à le chatouiller.
Sébastien finit par céder, en prenant sa Géraldine dans les bras et en l’embrassant tendrement.
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Véro
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MessageSujet: Re: Épisode 30   Épisode 30 EmptyDim 28 Mai 2006 - 13:05

Véro ouvrit les yeux et eut un instant de panic, elle n’était pas chez elle et ne se souvenait pas du tout d’avoir vu cet endroit, surtout qu’elle ne se souvenait même pas de la veille. Elle avait drôlement mal à la tête et se sentait tellement mal qu’elle avait l’impression d’avoir dormi debout. Véro avait également très froid, tellement qu’elle grelottait. Elle eut alors le goût de se faire réchauffer dans les bras de David, alors elle ouvrit la petite lampe et l’aperçut couché près d’elle. Elle se cala alors sur son dos, puis, sous le contact de sa Véro, il ouvrit les yeux et se retourna pour la prendre dans ses bras. Lorsqu’il constata qu’elle était gelée, il se mordilla la lèvre, se sentant un peu coupable de l’avoir amener jusqu’ici. Il se sentit mieux lorsqu’il remarqua le doux sourire sur les lèvres de sa Véro, il se dit alors que quelques souvenirs de la veille refaisait surface. En faites, David avait décidé de l’amener dans un chalet plus ou moins abandonné, afin qu’ils aient un moment romantique juste à eux. Durant toute la nuit, ils s’étaient gâtés au vin et avaient nourrit le feu. Ils s’étaient inventés des jeux, nichés au fond du lit, bien coller. Ils s’avouaient des petits secrets et tous les deux, ils ont fait les plus belles folies. En fait, David avait offert une soirée comme celle là à son amour, car un drame était encore survenu dans leur petite vie déjà fragile. Ils avaient encore une fois perdu la chance d’avoir une petite famille. De façon très bête, Véro s’était levée un matin et avait déjà perdu son bébé, comme ça tout bêtement. Elle avait beaucoup pleuré, même que David devait maintenant se souvenir des sourires de Véro, car elle n’en faisait plus. Elle pleurait à toutes les nuits et ne cessait de refuser tout ce qu’on lui proposait. Cette fois, par contre, elle avait accepté de suivre David au bout du monde pour qu’ils passent du temps juste à eux. Elle avait accepté de boire un peu de vin pour se détendre et de s’amuser sous la douce effet de l’alcool, juste assez forte pour qu’elle oublie un peu sa tristesse. David prit alors Véro dans ses bras et commença à lui chanter une chanson. Elle parlait de Véro, de ses sourires, de ses petits sourires, de ses moments plus difficiles ou encore plus joyeux. Elle reflétait tellement ce que Véro ressentait, qu’elle ne put s’empêcher de verser des larmes à la fin. Elle se colla tout contre le corps de son fiancé et laissa s’envoler toute sa peine qu’elle avait gardé durant un mois dans son petit cœur. Sans vouloir déranger, sans vouloir en parler, elle avait choisi le silence pour finir par tout évacuer loin de tout.
- Ça va mieux ? Demanda finalement David, d’un voix si faible que Véro eut de la difficulté à entendre, mais elle aurait pu deviné même si elle n’aurait rien entendu.
- Je crois que oui, répliqua Véro, tout en caressant son ventre, toujours très plat.
Véro releva la tête et constata avec surprise que David pleurait aussi. Elle eut alors le réflexe de consoler David tout en éloignant sa propre peine. Après deux bonnes heures au lit, Véro décida, plus confiante, de faire quelque chose de sa journée. Elle était consciente qu’elle ratait une journée importante de cours, mais elle était incapable d’y aller, pareil pour David. Alors, ils décidèrent de se rendre sur le bord du petit lac, très près du chalet.
- Tu sais, j’ai vraiment eu peur, lorsque j’ai su que j’étais enceinte, de reperdre mon bébé à nouveau. Je ne sais pas pourquoi, mais c’est comme si je l’avais ressentit. Je ne sais pas, mais il ne devait pas être là, tout simplement.
- Pourquoi ?
- Ça semble évident, je ne suis pas prête maintenant à être mère.
- Pourtant, je ne crois pas ça du tout. Je dirais même que tu es très prête, mais que tu n’as pas assez de chance. Ce n’est pas ta faute, pas du tout. Tu m’entends ? Je ne veux pas que tu ramènes ça à toi, au fait que tu n’étais pas prête.
- Ouais. Tu as raison, je ne dois pas remettre tout sur mes épaules.
- Si on allait se baigner ? Demanda alors David. Ça pourrait nous changer les idées et il fait une chaleur étouffante !
- Tu as raison.
Véro se sentait mal, mais elle ne voulait pas tout voir en noir. Alors, le lendemain de la nouvelle, à la place de pleurer toutes les larmes de son corps, elle était allée acheter sa robe pour le bal. Elle la trouvait tellement jolie que ça l’avait un peu aidé à filer mieux. Elle ne se sentait pas égoïste de vouloir s’amuser malgré ça, car au moins, elle savait que son enfant irait rejoindre ses deux autres petites filles. Que sa famille, elle l’aimais, même si elle n’avait pas eu l’occasion de se développer. David était d’accord pour dire que lorsqu’ils auraient un enfant qui vivrait, ce ne serait pas le premier, mais bien le quatrième. Ils ne pouvaient pas effacer ce qu’ils avaient fait ensemble, encore moins des petits bébés, trop petit pour pouvoir vivre.

Marie était à son appartement, au côté de Pierre. Elle se sentait toute drôle depuis que Véro avait perdu un autre de ses bébés, surtout que le comportement de Véro l’inquiétait. Elle ne pleurait jamais en public et sortait souvent avec elles ou encore avec Chuck et Jessy. En fait, tout semblait aller comme tout le temps, mis à part le fait qu’elle ne riait plus aussi souvent et que David lui disait qu’il n’y avait pas un seul soir où elle ne pleurait pas. Tout se passait la nuit, alors que Véro était seule avec David. Pierre était aussi présent qu’il le pouvait, autant pour sa Marie que pour la blonde de son meilleur ami. Il s’était toujours beaucoup occupé de Marie, plus jeune, mais également de Véro. Souvent, lorsque la famille de David partait, David s’assurait que Pierre allait s’occuper de sa Véro ou lorsqu’elle se blessait, il devait toujours seconder son ami. Enfin, Marie et Pierre étaient très présent, mais ils ne sentaient pas qu’ils changeaient grand chose. Au moins, Véro et David savaient qu’ils n’étaient pas seuls dans cette autre lourde épreuve.
- Je crois que je déteste le ciel de toujours faire du mal aux mêmes ! Cria Marie, alors qu’elle venait de recevoir un message de son frère, disant qu’ils étaient partit dans la nuit pour qu’ils essaient du trouver une paix.
- Je comprend ça Marie ! Si tu savais, je pense tellement pareil ! T’imagines, ils ont perdu deux chances de fonder une famille ! C’est terrible ! En plus, comme tu auras ton bébé, ça fait encore plus de ma à Véro, même si elle ne veut pas être jalouse de toi.
- Je sais Pierre. Et ça me fait du mal de penser qu’elle en a toujours voulu des enfants, alors que moi j’ai longtemps hésité. C’est tellement injuste, Pierre !
- Écoute, je ne crois quand même pas que c’est mieux d’être trop triste pour eux, il faut continuer à vivre, je crois que c’est ce qu’ils préféreraient.
- Tu as sûrement raison, approuva Marie, en essuyant ses larmes et en allant s’habiller.
- Ils vont laisser retomber la poussière et je suis certain qu’ils vont réessayer plus tard, ils ne laisseront jamais tomber et resteront toujours assez fort pour surmonter les épreuves de leurs dur vies. Il faut avoir confiance.
- Ouais, mais Véro aura toujours la peur bleue de reperdre son enfant, si elle retombe enceinte. Elle revivra ce cauchemar chaque fois qu’elle sera enceinte ou encore qu’elle verra ses enfants.
- Arrête Marie. Allez, on va être en retard à l’école.
Marie n’ajouta rien et se prépara pour aller à ses cours, comme lui avait conseiller Pierre. Elle laissa un message à David et Véro, pour leurs dire qu’elle serait à l’école, mais qu’ils pourraient en tout temps l’appeler, même si elle est en cours. Pierre lui affirma que ce n’était pas nécessaire, mais elle se contenta de hausser les épaules avant de prendre les clés de la voiture pour quitter son appartement. Marie alla rejoindre tous les autres et constata que Jeff semblait le plus fatigué de la gang. Elle décida alors d’aller s’asseoir à ses côtés.
- Ça n’a pas l’air d’aller toi, dit alors Marie.
- Moi, je vais bien, c’est Véro et David à qui ça va pas.
- Je sais Jeff, mais regarde ta tête. Tu as l’air tellement fatigué et on dirait que tu as beaucoup pleuré. Tu nous fais peur.
- Et alors ? Répliqua Jeff, en haussant les épaules. C’est normal. Je souhaite tellement que Véro ait du bonheur dans sa vie et cela depuis toujours, puis maintenant, elle a la vie la plus difficile que je connaisse. Si tu savais comment je me sens. Je sais que ce n’est pas de ma faute et c’est ça le truc, je suis tellement impuissant par rapport à ce qui lui arrive !
- On l’est tous, de même pour David et pour Véro, ils n’y peuvent rien, mais tout le monde continue de vivre. Ça ta sœur l’a tellement bien comprit. Elle a passé parmi des milliers de grosses épreuves, mais elle vit encore. Elle a toujours la totale confiance en nous et en David, surtout en la vie. Écoute la parler, puis tu réussiras à dormir sur tes deux oreilles.
- Ouais.
- Je comprend que ça te mette tout à l’envers, c’est comme ça pour tout le monde, mais ne t’arrête pas de vivre. On l’a bien vu que tu ne mangeais presque plus et que tu dormais presque jamais !
- Tu as raison, Marie. Je ferai attention…
Pierre lui donna une petite tape amicale, puis ils se rendirent à leurs cours, car la cloche venait de sonner.

Jessy se dirigea à son cours, marchant côte à côte avec sa nouvelle amie, Stacy. Elle adorait cette fille pour deux raisons, elles avaient tous les deux pleins de points en commun et elles adoraient le sport toutes les deux, puis la deuxième raison était qu’elle lui faisait toujours penser à Véro et cela la faisait rire de se retrouver devant une amie identique à Véro. Elle s’amusait beaucoup sur le fait que les deux filles étaient pareil souvent en leurs coiffant les cheveux à tous les deux de façon pareil ou encore en faisant exprès d’acheter le même cadeaux aux deux filles, simplement en choisissant deux couleurs différentes. La couleur préférée de Stacy étant le bleu tandis que Véro adorait le rose et les deux adoraient le noir, de façon égal. Pour Jessy, c’était presque un jeu de trouver les différences et les ressemblances entre les deux sœurs et Chuck s’y prêtait de temps en temps. Tant qu’à David, il ne le faisait plus, se concentrant seulement sur sa Véro et sans toutefois ignorer Stacy.
- Je suis contente que le fait que je sois arrivée parmi vous ne soit plus au centre de l’histoire, dit Stacy, en regardant Jessy du coin de l’œil.
- Je te comprend. C’est déjà difficile pour n’importe qui de s’intégrer dans un groupe et c’est encore pire quand il se passe plein de choses qui sont loin de t’aider.
- En effet. Au moins, c’est passé, mais ça ne veut pas dire que c’est mieux ce qui arrive maintenant.
- Je sais, répliqua Jessy, comprenant que Stacy parlait de sa sœur.
- Sinon, c’est pour quand tes fiançailles ? Demanda Stacy, ne voulant pas trop s’étirer sur le sujet des malheurs de sa sœur.
- Je ne sais pas, répondit-elle, en haussant les épaules. Ça dépendra de Chuck, je ne compte pas lui pousser dans le dos pour qu’il me fasse une demande, c’est contre mes principes.
- Je peux comprendre ça. Au moins, tu as tes 18 ans, alors il n’y aura pas de problèmes sur ce côté là pour le mariage.
- C’est vrai. J’ai tendance à l’oublier, je crois bien.
- T’arrives à oublier que tu as 18 ans ? Répliqua Stacy, surprise.
- C’est bien ça. Je ne sais pas, mais je n’ai pas vraiment eu l’occasion de profiter de ma liberté encore.
- Tu les as eu quand déjà ?
- Le 20 février…
Stacy se mit alors à rire en promettant à son amie qu’ils feraient bientôt une tournée des bars tous ensemble, car tout le monde était maintenant majeur. Stacy le savait, car c’était elle et Véro qui étaient les plus jeunes du groupe après Marie. Stacy et Jessy avaient tous les deux un cours de math avec Marie et Géraldine, qui étaient montées avant eux. Elles allèrent donc s’installer dans le fond et la classe et furent ravis de remarquer que c’était une remplaçante. Comme ça, elles pourraient se placer en équipe et peut-être même faire une période seulement de discussion.

Pierre rigola avec Jeff tout le long du cours d’informatique. Ils se rappelaient comment c’était drôle lorsqu’ils s’amusaient plus jeunes avec Véro et Marie, qui arrivaient à peine à marcher. Ils finissaient toujours par les faire pleurer et cela faisait en sorte qu’ils allaient s’en occuper pour qu’ils cessent de pleurer et elles se mettaient toujours à rire d’eux, car ils tombaient toujours dans le piège. Jeff se remémora comment David était protecteur envers sa sœur, mais qu’heureusement Pierre s’occupait de Marie, car il avait que d’yeux pour Véro. Jeff en avait déjà même été jaloux que sa petite sœur semble préférer David à lui.
- C’est drôle de penser à ça maintenant qu’on sait qu’ils étaient fait pour être ensemble dès leurs jeunes âges, dit alors Pierre.
- Pareil à toi et Marie, répliqua Jeff. Tu t’en occupais tout le temps comme si Marie t’appartenait. Tu étais très protecteur et il y avait presque juste David qui avait le droit aussi de s’occuper d’elle.
- En effet, approuva Pierre, en souriant à la remarque. Je me souviens très bien de ça.
- C’était le bon vieux temps…
- C’est sûr. Maintenant on a tous nos petites vies, tous nos problèmes, c’est comme ça qu’on entre dans le monde des adultes.
- Il faut croire que ça fait un bout que j’en suis un et pas vous.
- Ouais et alors. Je disais ça parce que maintenant que Marie a eu ses 18 ans, nous sommes tous des adultes, expliqua Pierre.
- Ouais. Concentre-toi un peu sur ton projet !
- T’as raison. Sinon tu sais où David amenait Véro toi ?
- Aucune idée. Il m’a laissé un message comme quoi qu’il ne viendrait pas à l’école, mais je ne savais même pas qu’ils allaient quelque part tous les deux.
- Bah moi non plus, mais Véro a parlé avec Marie avant de partir. D’ailleurs, elle semblait avoir déjà beaucoup bu.
- Ah ouais.
- C’est ce que Marie m’a dit, répliqua Pierre en haussant les épaules. Sinon, tu n’as pas encore penser déménager toi ! Tu ne crois pas qu’il serait temps de quitter ton nid douillet…
- Bah la… Je n’ai pas de quoi me presser ! Puis, j’y pense à me trouver un appartement où je pourrais vivre avec Jessica, mais je n’ai même pas de travail encore !
- Moi non plus, mais j’avais beaucoup d’économie et je vais commencer à travailler probablement dès que l’école va terminer.
- Ouais, je devrais en parler avec Jessica. Je ne sais pas si ça l’intéresserait.
- Je pense bien que oui, dit alors Pierre, en se tournant pour regarder où en était rendu Chuck.
- T’as sûrement raison.
- Crime Chuck t’es rendu loin ! S’exclama Pierre, en constatant qu’il avait presque terminé.
- J’espère bien, il ne reste plus beaucoup de temps, répliqua Chuck. Puis, tu le serais aussi rendu là, si tu arrêtais de parler avec Jeff un peu.
Pierre haussa les épaules et se tourna vers son travail. En effet, il n’avait pas avancé beaucoup et il devait tout remettre à la fin de la période. Alors, il se concentra pour faire tout du mieux qu’il le pouvait et lorsque Chuck eut terminé, cela réussit à le stresser encore plus. Jeff, lui, avait déjà terminé depuis le cours passé, alors il se contentait de regarder le travail des autres, puis commença à discuter avec Chuck de tout et de rien. Sébastien, lui, était retiré du groupe à cause de la prof, car elle l’avait prit en train de déranger d’autres élèves de la classe. Alors, dans les dernières minutes qui restaient, Sébastien déplaça sa chaise pour venir discuter avec les autres et ne put s’empêcher de rire de Pierre, qui était un des seul à ne pas avoir fini.
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MessageSujet: Re: Épisode 30   Épisode 30 EmptyDim 28 Mai 2006 - 13:06

Lorsque Véro et David sortirent de l’eau, il se sentait beaucoup plus détendu et heureux. Ils décidèrent de se faire sécher un peu au soleil, car ils ne voulaient pas mouiller leurs vêtements lorsqu’ils les remettraient.
- On est bien comme ça, dit alors David.
- Ça ne me surprend pas que tu dises ça. Si tu le pouvais, tu passerais ta vie tout nu, répliqua Véro, en haussant les sourcils.
- Bah peut-être pas…
- Non, c’est sûr.
- Ça reste qu’on est bien comme ça. Tu ne peux pas le nier.
- T’as raison, répondit Véro, tout en se replaçant dans l’herbe chauffé par le soleil. Et puis, c’est toujours mieux que d’aller à l’école.
- C’est vrai. Tu vois, je n’y pensais même pas !
- Désolée de t’avoir remit le mot école en tête, dit alors Véro, en riant.
- Non, mais c’est vrai qu’on est mieux ici qu’à l’école.
- Au fait, tu sais où on est ? Moi, je faisais simplement te suivre et je ne pourrais même pas rentrer chez nous toute seule.
- Je sais où on est, ne t’inquiète pas. Sauf que je ne connais pas le nom de la rue où du parc. Enfin, ce n’est pas le plus important.
- T’as raison. L’important c’est qu’on aille bien et que je sois près de toi.
Lorsque Véro eut dit ça, David en profita pour se coller un peu plus et de poser son bras autour des épaules de la jeune fille, comme il faisait si souvent. Au bout de deux heures, Véro et David était maintenant assis sur le perron du chalet et retardait leur départ tout le temps.
- Je crois qu’on devrait y aller, dit alors Véro.
- Tu crois ? Demanda alors David avant de l’embrasser une autre fois.
- Oui , vraiment. On n’a pas le choix de revenir dans la réalité mon chéri, on ne peut pas vivre éternellement ici.
- Je sais. C’est que j’ai peur que lorsque je revienne à l’appartement et que je revois la pièce concentré à notre bébé, que je retombe dans une profonde tristesse.
- Moi aussi j’y pense, mais nous n’avons pas le choix.
David lâcha un profond soupire et se leva, pour montrer qu’il était prêt à rentrer à leurs appartements. Véro le suivit dans son geste et ils se dirigèrent vers la voiture qui était garé pas très loin du chalet. David se retourna une dernière fois et vit que Véro lui souriait, même si c’était un peu avec force. Alors, David ne put s’empêcher de répondre à ce sourire qui lui remontait toujours le morale en moment difficile. David et Véro roulèrent pendant un bon moment jusqu’à ce que la voiture ait une crevaison et qu’ils soient dans l’obligation de s’arrêter. Décidément, Véro et David apportaient la mal chance.

Sur l’heure du midi, ils décidèrent de tous aller manger au restaurant près de l’école. Cela faisait bien longtemps qu’ils n’avaient pas eu l’occasion de faire une belle sortie entre amie comme ça. C’est bien sûr qu’ils étaient conscient qu’il en manquait deux, mais d’une certaine façon, ils les sentaient avec eux. Alors, ils commandèrent tous un repas tout en discutant de tout et de rien, des dernières nouvelles ou simplement de vieux souvenirs.
- C’est pour quand le prochain show ? Demanda comme ça Jessy.
- J’en sais trop rien, dit alors Marie. Ça fait un trop long bout qu’on n’en a pas parlé. Pourtant, on le devrait.
- On a juste à se réunir chez nous ce soir et parler de ça, dit alors Jeff. À moins qu’il y en ait qui ne voudrait pas embarquer cette fois…
- On est tous partant Jeff ! Dit alors Seb, pour tout le monde.
Jeff regarda tout le monde qui lui fit signe que Seb avait raison, mais il s’arrêta sur Stacy.
- Tu pourras assister à la réunion quand même, Stacy, proposa alors Jeff, sachant que c’était la seule qui ne faisait pas partit d’un groupe.
- Ouais, répondit-elle simplement.
Pendant que tout le monde parlait de musique, Chuck s’inquiétait énormément pour Jessy. Il remarquait qu’elle n’avait rien mangé ou à peine, encore une fois. Il lui tapota alors l’épaule et lui montra son assiette d’un signe du doigt. Jessy comprit le message, mais se contenta de hausser les épaules. Chuck soupira profondément et se promit que lorsqu’ils seraient seuls, il lui parlerait comment cela l’inquiète. Marie avait également jeté un coup d’œil du côté de son amie, mais avait remarqué que Chuck l’avait vu lui-même, alors elle se dit qu’elle n’avait pas à se mêler de ça maintenant. Elle préféra se tourner vers Pierre, car apparemment, il savait quelque chose venant de David, mais ne voulait pas le dire.
- C’est au sujet de quoi ? Demanda Marie, intriguée.
- Pourquoi je te le dirais ? Demanda à son tour Pierre.
- Je ne sais pas, peut-être parce que je suis ta blonde.
- En effet, mais ça ne me donne pas tous les droits. J’ai promis à David que je serais le seul à le savoir jusqu’à ce qu’il se décide d’en parler lui-même.
- C’est positif ou pas ?
- Arrête de poser des questions Marie ! Je vais finir par te dire quelque chose qui ne fallait pas, alors changeons de sujets.
- Au moins, tu pourrais en reparler avec Dav pour lui dire quand il va nous l’annoncer.
- Sûrement bientôt, dit alors Pierre. Il faut juste qu’il se décide.
- Je vais l’aider, dit alors Marie, un sourire en coin.
- Marie ! Laisse-lui le temps qu’il faut, que je ne te vois pas aller l’énerver avec ça.
- Bah non…
Pierre se mit alors à rire avant d’embrasser Marie sur les lèvres. Jeff et Stacy parlaient de musique et de sport, leurs centres d’intérêts préférés.
- Si tu veux, on se fera une partie de basket cette fin de semaine, proposa Jeff.
- Ça serait vraiment super, dit alors Stacy.
- Je pourrai me joindre à vous ? Demanda Sébastien.
- Bien sûr. Plus nous serons et plus ce sera plaisant, c’est certain, dit alors Stacy.
- On pourrait même tous y aller, proposa alors Pierre. En plus, j’ai droit à une vengeance contre la belle Stacy et la belle Véro.
- Ah bon ? Dit alors Marie. Tu ne m’avais pas dit qu’elles t’avaient surpasser au basket !
- Je sais, dit alors Pierre. C’est rare qu’on se vante de nos défaites.
- Il a raison, dit alors Stacy. Il a perdu lamentablement, alors c’est clair qu’il n’ose pas en parler.
- Pas tant que ça ! Dit alors Pierre.
- Il faudra demander à David, il était témoin, dit alors Jessy.
- Pas nécessaire, dit alors Pierre.
- Tu avoues que tu as perdu lamentablement ? Tu t’es vraiment fait humilier, dit alors Stacy.
- C’est vrai que vous vous êtes bien battues, mais ça s’arrête là, dit alors Pierre. Bon, alors tout le monde est partant pour euh…samedi ?
- Ça marche pour moi, dit alors Chuck.
Tout le monde fut encore une fois d’accord sur ce plan. Ils parlèrent encore une petite heure quand ils se rendirent compte qu’ils venait de louper les deux cours de l’après-midi. Ils partirent donc en direction de l’école, avec l’intention d’aller chercher leurs sacs d’école, puis ils partirent chacun chez eux, se promettant de se rejoindre après le souper pour parler du futur show.
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MessageSujet: Re: Épisode 30   Épisode 30 EmptyDim 28 Mai 2006 - 13:06

David fulminait contre sa voiture.
- Je le savais, on aurait dû prendre ta nouvelle voiture ! Dit alors David. Non, mais on ne serait pas ici à l’heure qu’il est. En plus, ton oncle ne s’est pas privé pour t’acheter la voiture du siècle !
- Je sais Dav, mais maintenant que nous sommes ici, nous allons trouver une solution pour entrer. Ne parlons pas de ce que nous aurions dû faire.
En effet, David n’avait pas fait une crevaison par accident, mais bien parce que les pneus étaient bien trop usés et qu’ils étaient dû à être changé. David et Véro décidèrent alors de marcher jusqu’à la prochaine ville, car elle n’était pas si loin d’où ils étaient.
- Ça fera le sujet de ma prochaine chanson, dit alors David, découragé.
- Ah oui ? Et t’as une petite idée déjà de ce que ça va donner ? Demanda Véro, pour encouragé David à penser à autre chose que leur situation.
- Oui.
- Vas-y. Chante !
David prit alors une pause avant d’accepter.
- Ça fera un mixte avec ce que j’ai écrit lors de notre courte séparation.
- Alors, j’ai hâte d’entendre ça, répliqua Véro, avec un demi sourire, juste au souvenir de leur courte rupture.
David prit une longue respiration et commença. Ce fut comme suit :
« It was 3 AM
When you woke me up
And we jumped in the car and drove as far as we could go
Just to get away

We talked about our lives
Until the sun came out
And now I’m thinking about
How I wish I could go back
Just for one more day
One more day with you

Everytime I see your face
Everytime you look my way
It’s like it all falls into place
Everything feels right »

Véro le regarda alors, il ne semblait pas savoir comment allait être la suite, alors elle se risqua.

« Ever since you walked away
It left my life in disarray
All I want is one more day
It’s all I need
Is one more day with you »

- Je t’aime, dit alors David, avant de continuer pour le deuxième paragraphe.

« Quand la voiture est tombée en panne
Nous avons simplement marché à côté
Jusqu'à ce que nous arrivions dans cette ville
Il n'y avait rien du tout là-bas
Mais tout allait bien

Nous avons dépensé tout notre argent
En choses stupide
Mais si je regarde en arrière maintenant
Je donnerai probablement tout
Juste pour un jour de plus
Juste pour un jour de plus avec toi »

Lorsqu’ils arrivèrent à la ville, en effet, il n’y avait rien du tout. Une chose au moins, c’était qu’ils avaient oublier pourquoi ils étaient partit si tôt et pourquoi si loin. Ils finirent tout de même par appeler Pierre, car ils savaient que l’école était maintenant finie. Lorsque Pierre arriva près de la voiture, David et Véro y étaient déjà revenus et chantaient leur nouvelle chanson « Everytime » qu’ils avaient finaliser en l’attendant.
- Vous chantez quoi ? Demanda simplement Pierre.
- Notre nouvelle chanson, répondit David.
- En faites, c’est plus sa chanson que la mienne, rectifia Véro.
- Ça n’a pas d’importance, elle nous appartient les deux. Sinon Pierre, ça t’a bien prit du temps ! S’exclama David.
- C’était à vous de ne pas vous rendre au bout du monde ! Dit alors Pierre, découragé. Qu’est-ce qui vous a prit de vous perdre dans ce trou perdu ?
Véro et David haussèrent les épaules en même temps avant de répondre qu’ils en savaient trop rien.
- Peu importe, on a des choses à faire.
Pierre avait prit soin d’apporter tout le nécessaire pour remplacer le pneu de David, car bien sûr, il n’y avait rien pour cela dans la voiture de David. Alors, Pierre et David s’occupèrent de changer le pneu, tandis que Véro les regardait en riant, voyant qu’ils avaient de la difficulté à faire une chose si simple à ses yeux. Elle décida de leur donné un petit coup de main et les gars se défendirent en disant qu’ils n’avaient jamais eu l’occasion de changer un pneu d’une voiture en décomposition.
- C’est normal, dit simplement Véro. Et puis, on n’est jamais trop de trois.
- T’as raison, approuva Pierre. Bon allez, on nous attend.
- Ah bon, dit alors David, prenant place côté passager de sa voiture.
Véro ne dit rien et prit place côté conducteur, puis suivit la voiture de Pierre durant tout le trajet. Lorsqu’ils arrivèrent, tout le monde était occupé à finaliser les plans pour le show et ils finissaient de faire les téléphones nécessaires. Véro et David firent le saut en constatant ce qui se passait ici, en leur absence.
- C’est super ! S’exclama Véro, après que Marie leurs ait expliqué la situation.
- On n’était pas pour vous attendre, vous mettiez bien trop de temps. On peut comprendre ce que vous faisiez, maintenant, dit alors Jeff. Au moins vous avez comprit qu’il n’est pas prudent de le faire sous mon toit !
- Jeff, Jeff, Jeff, c’est le toit de tes parents, pas le tien. Combien de fois devrons-nous te le répéter ? Dit alors David, en gardant son sérieux.
Jeff ne répondit rien, mais ne pu s’empêcher d’éclater de rire. David suivit peu de temps après, ce qui montra à tout le monde qu’il était temps d’aller dormir. Jeff ne se pria pas de jeter David dehors et Véro le suivit après avoir chicaner son frère. Les autres partirent un peu plus tard, après avoir ranger un peu ce qu’ils avaient sortit.

Marie et Pierre arrivèrent à leurs appartement exténués. Pierre avait raconté comment David et Véro semblaient aller mieux depuis leur escale au bout de monde. Tandis que Marie se contentait de l’écouter, coller sur Pierre, la tête posé sur son cœur. Elle finit par s’endormir, au doux son régulier du cœur de Pierre, un peu après que Pierre lui ait dit bonne nuit et qu’il se soit endormie.

Jeff avait prit soin d’appeler sa Jessica avant d’aller se coucher, mais lorsqu’il allait tout éteindre pour aller dormir. Il constata qu’il y avait une lumière dans la chambre de Stacy et qu’elle semblait parler à quelqu’un. Jeff se colla l’oreille sur la porte et en déduit que Stacy avait rencontré quelqu’un. Il espérait que se soit quelqu’un de bien, mais préféra ne pas s’en mêler maintenant, car il était trop fatigué.

Seb avait décidé d’amener Géraldine chez lui, afin de lui dire combien il l’aimait. Ils ne prirent tout de même pas trop de temps avant de s’endormir profondément.

- Écoute Chuck, je sais ce que je fais ! Cria Jessy, alors que Chuck venait de lui faire part de ses inquiétudes.
- Mets-toi à ma place Jess ! Je te vois maigrir de jour en jour, tu manges comme un oiseau ou pas du tout. Je dois penser quoi de ça ? Ça me fait peur et je crois bien que c’est normal puisque je tiens à toi !
- Peut-être…
- Écoute Jessy, je ne dis pas que tu ne sais pas ce que tu fais ou encore que tu es malade. Je veux juste que tu ailles bien, que tu sois bien dans ta peau et avec moi. Je t’aime trop pour penser que je pourrais te perdre si je ne suis pas assez attentif.
- Tu as sans doute raison. Je m’excuse Chuck, dit simplement Jessy.
- Je ne veux pas que tu t’excuses, je ne t’en veux tout simplement pas. C’est que tu dois comprendre que je tiens à ce que tu fasses attention à toi.
- Ok.
- Bon, on va aller dormir.
Jessy ne dit rien et alla éteindre la lumière de sa chambre, puis elle alla se placer dans les bras de Chuck, où elle se sentait si bien.
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MessageSujet: Re: Épisode 30   Épisode 30 EmptyDim 28 Mai 2006 - 13:06

Cette nuit là, Véro ne laissa couler aucune larme. Pour elle, la vie continuait et tout irait pour le mieux par la suite, elle le sentait. Enfin, elle l’espérait et y croyait.
- Je t’aime Véro, dit simplement David avant d’éteindre la lampe.
- Moi aussi, je t’aime.
David alla embrasser le ventre de Véro, puis laissa un baiser sur son front avant de se diriger vers les lèvres de sa bien-aimée. David savait ce qui préoccupait les pensées de Véro, car c’était pareil pour lui, mais il tenait à ce qu’ils se changent les idées et qu’ils se sentent mieux. Véro réussit à changer les idées de David et lui-même fit pareil. Finalement, ils s’endormirent bien fatigué et le cœur beaucoup plus léger.
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MessageSujet: Re: Épisode 30   Épisode 30 EmptyDim 28 Mai 2006 - 21:17

yahhh javait super hate de lie lepisode trente enfin la setait sper bon jai mdeja hate a la suite continue de meme vero Very Happy:D:
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MessageSujet: Re: Épisode 30   Épisode 30 Empty

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