Jonathan, lorsqu'il était plus jeune, il se plaisait à faire du mal aux autres et à insulter qui que se soit. Il n'hésitait pas à battre un plus jeune que lui afin de lui voler son lunch, sa paire de soulier ou tout ce qui pourrait lui donner envie d'avoir. Jonathan avait une gang d'amis, ils étaient environ 5 depuis la première journée d'école. Même à la maternelle, ils avaient tous les cinq eut le même réflexe, semer la terreur dans la classe. Cela fut comme ça toute sa vie à l'école, mais lorsqu'il entra au secondaire, il n'était pas indifférent aux filles. Ils les regardaient tous, tous les jours, et au moment venu, il en choisissait une, qu'il crousait et baisait par la suite. En faites, comme il était beau garçon, il pouvait avoir toutes les filles qu'il désirait et il les filles de son école, il les a toujours fréquenté ou presque. Disons, à part les moins jolies. Jonathan aimait les filles, l'argent et le sport, mais il se foutait complètement des autres. Cela à changer à la suite de son premier refus, venant d'une fille dont David lui avait tant parler. Un jour, Jonathan rencontra Véro à un centre de ski, après lui avait longuement parlé, il réalisa qu'il était un con. Et qu'à la regarder, il pouvait voir combien elle était amoureuse et heureuse à la fois, il réalisa qu'il voulait cela lui aussi. Alors, il se mit à regarder un peu plus autour de lui, puis remarqua qu'en fait, il n'avait pas de véritable amis et que tout le monde lui parlait juste parce qu'il était beau et qu'il vallait mieux l'avoir de son côté que l'avoir en ennemi. Jonathan n'a pas eu la plus belle des enfances non plus. La raison qui l'a poussé à faire ça, c'est que dès son plus jeune âge, il perdit sa mère, morte suite d'un cancer. Puis, il du aller vivre chez son père, qui était en fait le chef d'une bande trafiquant de drogue. Son père était malhonnête, même très, puis sous son influence, il n'eut pas le choix de faire autrement son enfance, mais heureusement pour lui, sa mère lui avait implanté de bonnes valeurs avant de mourir, qui ne tarda pas trop à refaire surface, ce qui lui évita la pire des choses, finir comme son père.