Épisode 36 - Partie 2

Épisode 36 : La liberté arrive, les responsabilités aussi... Partie 2

À ce moment exact, Pierre mit sa main dans une de ses poches et en resortit un tout petit bijoux que Véro reconnu tout de suite, c'était... la bague de fiançaille à Véro. Pourquoi était-ce Pierre qui avait sa bague ? Véro ne comprenait plus rien. Elle se souvenait l'avoir vu un matin et rendu au soir, elle ne l'avait plus au doigt et elle avait eu beau chercher partout, elle n'avait vu aucune trace de sa bague. Pierre l'aurait retrouvé ou bien il lui aurait prit, elle ne comprenait pas, surtout le regard qu'il avait en ce moment présent. Et au lieu de se lever pour aller la lui donner, il la remit dans sa poche de jeans. Véro ne dit rien, elle se contentait de le regarder et d'essayer de comprendre, rien ne lui venait à l'esprit. Elle se contenta alors de regarder David, ses yeux étaient toujours clos et il semblait sourire. Véro déposa un léger baiser sur son front avant de recommencer son geste de lui jouer dans les cheveux doucement. Au bout d'une heure, ils eurent le droit d'aller voir monsieur Desrosiers. Il semblait très mal en point, il avait plusieurs pensement et avait les yeux mi-clos, il semblait vouloir s'endormir à tout instant. Madame Desrosiers et ses deux enfants s'approchèrent du lit alors que Pierre et Véro restèrent à l'écart. Lorsque l'infirmière arriva, elle indiqua que la visite était autorisée qu'à la famille proche, alors Véro et Pierre sortirent sans discuter. Après tout, ils avaient tous les quatre besoins d'un moment de tranquilité.
- J'espère qu'il va bien s'en tirer, dit Pierre tout en s'accottant sur le mur du couloir, en face de la chaise que Véro avait prise.
- Je suis d'accord, approuva Véro. Personne ne mérite de subir les erreurs d'une personne ivre. Moi, ça me rend trop malade ! Mais Pierre, tu peux m'expliquer pourquoi t'as ma bague, sérieusement.
- C'est un jour où t'étais venu chez moi avec David, tu l'avais oublié sur la table de chevet. Alors, je ne l'ai pas vu tout de suite, car elle était tombée juste à côté du lit, alors voilà. Je te la redonne maintenant, car je n'y pensais pas trop avec ce qui s'est passé.
- Tu veux dire l'accident ?
- Non, je veux dire notre baiser... Puis les sentiments que j'ai pour toi qui avait remonté... ça m'a perdu comme il faut ! Alors, voilà, dit-il en s'approchant pour lui donner avant de s'installer à côté d'elle. J'espère que David n'a pas trop posé de questions.
- Pour la bague, non, pas du tout. Je lui ai dit que je l'avais égaré, en plus, je devais la faire ajuster, car elle est un peu lousse, dit-elle en la mettant. Enfin, pourquoi ne me l'as-tu pas redonné tantôt, au lieu de juste me la montrer et de la remettre dans tes poches. Je dois t'avouer que j'ai trouvé cela étrange et euh... de quoi les sentiments que t'as pour moi ?
- Ah c'est juste parce que David était endormie sur toi, je ne voulais pas risquer de le réveiller et de briser ce beau moment. Je dois avouer que vous étiez mignon à voir, comme ça. Je ne connais pas beaucoup de filles qui consolent leur copain de cette façon.
- C'est tout simplement parce que la plupart des gars ne sont pas assez émotif et ils sont trop orgueilleux pour ça. En même temps, les filles sont parfois tellement concentrés sur leur propres problèmes et leurs sentiments que ça les fait un peu oublié leur chum. Je dis ça parce que c'est souvent le cas, mais je suis certain que toi, t'as pas peur de montrer tes sentiments, s'il y a de quoi. Et là, David avait de la peine, je le ressentais, il avait besoin de réconfort, et ça me fait toujours plaisir de lui en donner, puis je dois avouer que moi aussi, je trouvais ça mignon qu'il accepte mon épaule comme appuie.
- Ouais, enfin, c'est pour ça que je ne voulais pas te la remettre tout de suite.
- Mais Pierre... T'as pas répondu à ma question.
- Euh... laquelle ?
- T'as encore des sentiments pour moi ?
- Pourquoi me demandes-tu ça ? Tu sais, c'est Marie que j'aime.
- Oh je n'ai aucun doute, mais euh... t'as dit les sentiments que j'ai pour toi, alors est-ce que tu en as encore ? M'aimes-tu toujours... est-ce que je te fais encore de l'effet ou je ne sais pas quoi ?
- Écoute Véro, je ne peux pas effacer de ma mémoire à tout jamais ce que je ressens pour toi. C'est plus qu'une simple amitié et malheureusement, ça ne fait pas tellement pour la situation que nous avons. Moi, parce que j'aime Marie et je suis bientôt père et toi, qui est déjà fiancée à un homme parfait. Et j'espère qu'il sait qu'il a de la chance, mais je ne peux pas enlever de mon coeur ce que je ressens pour toi. C'est peut-être mal, sur cette planète, d'aimer deux femmes à presque même intensité, mais pour moi, c'est le cas et malheureusement, je ne peux pas faire autrement. En même temps, je suis conscient que nous deux, ça n'arrivera jamais et que là, c'est bien parfait, mais oui j'ai des sentiments... disons d'amitié qui sont très forts pour toi. Alors, je t'aime toujours, mais ma femme, c'est Marie.
- Alors, si je comprend bien, si tu pouvais, tu nous prendrais les deux...
- Ce n'est pas ce que je dis, Véro. C'est que je trouve que tu es une fille super, je m'entend super bien avec toi et notre relation d'adolescent m'est resté dans le coeur et ma rupture m'a fait vraiment mal. Je ne crois pas que tu peux m'en vouloir pour ça, mais je te jure que j'aime Marie plus que tout, mais toi c'est différent, disons que je te considère comme ma meilleure amie.
- Daccord, je voulais savoir. Et je t'attire ?
- Tu veux dire physiquement ? Demanda Pierre, n'étant pas sûr de la question et surtout de ce qu'il allait répondre.
- Ouais. Tu me trouves belle ? Autant que Marie... plus...
- Véro, t'es très belle, pour le dire, il le faut. Seulement, je demanderais à tout homme de cette Terre et de façon honnête, j'en aurais la majorité qui dirait comme moi. Ça c'est sûr, je trouvre que tu es belle et attirante, mais est-ce que ça veut dire que c'est important, pas tant que ça, car je ne regarde pas que la beauté. Seulement, je n'aime pas trop le autant ou plus que Marie... À mes yeux, Marie est la plus belle, aux yeux de David, c'est toi et aux yeux de Jeff c'est Jessica. Alors, t'es très belle, Marie aussi, mais je ne répond pas autre chose que ça.
- Je comprend.
- Et toi ? Tu n'as rien ressentit lors de notre baiser ? Ça ne t'a rien rappelé ? Tu ne me trouves pas attirant
- Bah... oui, au début. Je veux dire que ça m'a rappelé des souvenirs et moi aussi je pourrais dire que des sentiments sont remontés, mais mon coeur sait qu'il aime que David pour ce côté là. Et oui, t'es très attirant. J'aime beaucoup l'homme que tu es devenu et le fait que tu t'entraînes, ça parraît. Cependant, je ne crois pas que tu m'attires plus que David. Il est trop l'homme idéal à mes yeux. Je ne peux vraiment pas espérer mieux. Mais Pierre, c'est sûr qu'après David, t'es le deuxième homme parfait. Puis, je me souviens bien de notre relation,,, t'as été mon premier, tu sais. Avant, y'a eu Seb, mais j'ai fait presque toutes mes premières expériences avec toi. Et Pierre, pour une jeune fille, une première fois, ça ne s'oublit pas et là, ça fait partit de mes bons souvenirs...
- À moi aussi, Véro.

- Mais il n'y a pas à se sentir coupable d'aimer encore notre passé, il faut juste que l'on oublie les sentiments trop fort que l'on a eu. Je comprend que tu ne puisses pas t'empêcher d'aimer deux filles à la fois, mais au moins, il y en a qu'une avec qui tu veux vivre et pour ça, je te respecte. Et puis, pour moi aussi, t'es mon meilleur ami et j'espère que notre relation ne changera pas, car ça me ferait trop de peine.
Pierre sourit à cet aveu. Il était content de voir que Véro le comprenait et qu'elle n'était pas fâchée, mais surtout qu'elle ne regrettait rien de leur passé non plus. Pierre avait gardé que de bons souvenirs de leur relation, de lui et Véro, puis il était content de voir que ça ne l'avait pas marqué que lui. En même temps, c'est ce qu'il appelle un amour de jeunesse, cet amour va toujours resté, mais elle restera jeune aussi, mais avec Marie, il y a un avenir et beaucoup d'amour grandissante. En même temps, Pierre s'imaginait parfois comment aurait été sa vie, s'il avait été avec Véro. À ces moments, il ne pouvait s'empêcher de penser aux nombreux problèmes qu'elle et David ont eu et il se demandait s'il aurait été capable d'avoir une blonde aussi blessée. Pierre se disait qu'il n'aurait pas su comment s'y prendre pour consoler Véro, si ça l'avait été ses enfants qu'elle aurait perdu. Lorsqu'il pensait à ces situations, il se disait qu'il était bien avec Marie et qu'il ne changerait jamais. Où ça causait problème, c'était lorsqu'il se souvenait des quelques détails que David lui racontait, au début de sa relation avec Véro, c'est-à-dire ceux du lit, et à ces moments, Pierre en était presque jaloux. C'était sa nature de gars qui disaient qu'il aurait aimé, lui aussi, baiser dans un placard à balai, juste parce qu'ils avaient une trop grande envie de se retrouver ou encore dans la salle de bain d'un cinéma et tout ce qui se rapportait aux folies de Véro et David, Pierre en était un peu jaloux. Il était honteux d'être jaloux de ça, car il était quand même comblé avec Marie, mais il était certain que sa Marie n'était pas aussi extravagante que Véro. Ça, Pierre le savait pour avoir fréquenter Véro plus d'un an, dès la première fois, ils s'étaient retrouvé au huitième ciel. Alors, lorsque Pierre pensait à ces moments là, il se maudissait d'avoir de tels pensées, il se disait que c'était malhonnête pour Marie et qu'il devrait plutôt être content pour David, lui qui avait toujours eu des vues sur la petite Véro et que jamais il n'aurait cru avoir son coeur un jour. En même temps, ces pensées revenaient le hanté chaque nuit et même plusieurs fois dans le jour, surtout quand il était en présence de Véro.
- Pierre...
- Quoi ? Dit-il, content qu'elle l'ait tiré de ses pensées alors que ça devenait dangereux.
- Ça t'arrive de penser à quoi ça aurait pu ressembler notre vie, si on l'aurait fait ensemble ? Je veux dire, sans David et Marie...
- Bah Véro, c'est sûr. Pourtant, je ne crois pas que l'on se pose cette question parce qu'on se dit que ça aurait été mieux... Tu crois pas ? Parce qu'en général, c'est la raison et chaque fois que je me met à penser à ce qu'aurait pu ressembler ma vie avec toi, je me sens coupable.
- Moi non, car je fais ça avec tout. En fait, je m'en veux, car je sais très bien que ça me fait plus mal qu'autre chose. Surtout quand je m'imagine avec des enfants, ça me fait si mal ou bien quand je pense que tu seras père avec Marie, alors que je ne le suis pas. Est-ce de la jalousie ? Peut-être... Ce que je sais, c'est que je suis très bien comme je suis, mais ça ne m'empêche pas d'imaginer la vie différemment.
- Ouais, bah c'est plutôt de l'injustice, tu mérites tellement d'être mère ! Enfin, je crois que j'aurais eu de la difficulté avoir été à ta place. Dis-moi franchement, est-ce que ça te fait encore de la peine ? En pleures-tu encore parfois ?
- Non. Je ne me sens pas égoïste pour autant, j'ai fait mon deuil. Puis, je fais quelques rêves de temps en temps, mais très rarement et David s'arrange toujours pour me changer les idées, alors je ne suis pas prête à retomber en déprime, surtout pas à cause de ça. Non, j'ai passé par dessus ça et là, ça va.
- Avez-vous essayé d'en avoir un autre ? Demanda Pierre, prenant un ton amical.
- Non. Je prend la pellule, car on n'aime pas trop les condoms.
- Je sais...
- Ouais, bon. Ça ne nous intéresse pas pour le moment, on en veut un jour, c'est sûr. Puis, si jamais j'oublie la pellule et que je tombe enceinte ou un truc du genre, c'est sûr qu'on garde le bébé, mais on s'est mis d'autres projets en tête. Ce n'est pas maintenant que l'on fonde une famille, puis de toute manière, on est encore jeune pour ça, on a amplement le temps pour tout faire ça dans quelques années. En plus, l'enregistrement arrive et la tournée va suivre tout de suite après, probablement. Alors, David et moi, on croit que ce n'est pas la meilleure ambiance pour élever un enfant, de toute manière.
- Au moins, ce n'est pas parce que vous craignez de le perdre à nouveau.
- Non. Ça ne me fait pas peur plus qu'il faut. J'ai confiance en la vie et en la nature, puis je me dis que quand viendra le temps où on voudra des enfants, on les aura, David et moi. En plus, le mariage s'en vient et ça me suffit pour le moment ! Puis, faut bien profiter de notre jeunesse pendant qu'il est encore temps, dit-elle en lui faisant un clin d'oeil.
- C'est sûr ! Dans le fond, vous faites bien. Et puis, vous allez avoir à gâter notre bébé quand il naîtra.
- C'est vrai, répliqua-t-elle en souriant.
Pierre et Véro discutèrent pendant de longues minutes, tout en attendant les autres. Ils ne savaient pas combien de temps ils allaient prendre, mais ils étaient très patient, mais surtout que le temps passait quand même assez vite, car il discutait tranquillement de tout et de rien, entre amis. Bien sûr, le fait que leur beau-père soit blessé ne pouvait pas leur faire autant de peine qu'à la famille direct. Ils ne se sentaient pas pour autant égoïste ou coupable, car le pire était passé maintenant, il ne semblait pas avoir trop de problèmes pour le moment. En plus, lorsque David et Marie sortirent de la chambre, ils avaient tous les deux un sourire aux lèvres. Ils expliquèrent que leur père n'était pas en pleine forme, mais qu'il n'avait pas perdu la tête et son humour, tout ce qu'il avait dit les avait fait sourire. Alors, tous les deux se sentaient déjà mieux et avaient beaucoup plus confiance en l'avenir de leur père. Madame Desrosiers avaient décidé de rester avec lui, mais elle avait promis qu'elle irait se reposer lorsque les visites seraient terminé et comme elle avait prit sa voiture, il n'y avait aucun problème.

Chuck était assis sur son lit, sa promenade avec Jessy s'était écourtée, car les chaleurs de la journée les avait épuisé. Il était en ce moment même au téléphone avec leur nouvel agent, un homme très sympatique. Ils l'avaient tous vu lors du bal et tout le monde avait été d'accord pour dire que c'était le gérant parfait pour eux. D'abord parce qu'il était jeune et qu'il voyait les choses de la même façon qu'eux, parce qu'il commençait dans le milieu aussi, mais que son père était gérant aussi, alors ça lui donnait un plus. C'est surtout parce qu'il avait été très sympatique et sociale, quand ils leur avaient parlé. Alors, Chuck discutait avec lui depuis au moins trente minutes à propos de l'enregistrement de leur CD qui arrivait. Il parlait également qu'il avait déccroché quelques spectacles dans des festivals où ils encourageaient la relève. Il disait aussi que pour leur faire plaisir, il s'était arrangé pour présenter les deux groupes à la fois et que seulement une fois, les deux groupes ne jouaient pas à la même place. Le jeune homme se nomme Matthew et les filles ne s'étaient pas privés de dire qu'il était très sexy lorsqu'elles l'avaient vu. Véro avait même dit à David qu'il ne serait pas mal qu'il se mette à faire de la musculation pour ressemble à ce beau jeune homme de 19 ans. Cela avait évidemment un peu fâché David, mais il avait finalement décidé de prendre ça en riant. En faites, c'était même David qui s'entendait le mieux avec lui, il avait beaucoup de points en commun avec Matt. Seulement, il avait changé de face lorsque Matt avait dit qu'il trouvait très sexy la jolie blonde, David s'était alors dit qu'ils avaient peut-être trop de points en commun comme ça. Par contre, Matt s'était excusé lorsqu'il avait apprit que Véro était en faites fiancée à David. Alors, Charles discutait avec Matt de tout ce qu'impliquait papier, détails et surtout les dates importantes, il notait tout ça sur son calendrier et il promit de faire le message aux autres après, car évidemment, ça ne tentait pas à Matthiew de tout répéter.
- Hey Charles ! T'as bientôt fini ? Demanda Jessy, en entrant dans la pièce avec deux verres de limonade.
Chuck lui répondit par un signe de tête et un sourire. Il finalisa quelques détails avec lui et fut surprit qu'il lui demande le numéro de cellulaire de Véro. Il ne comprenait pas trop pourquoi il voulait le sien. Matt lui expliqua alors que c'était tout simplement parce qu'il s'était bien entendu avec David et Véro et comme ils habitaient le même appartement, il serait plus simple qu'il lui donne un seul numéro. Puis, il ajouta qu'il aimerait avoir tous les numéros, un coup partit, car il serait pratique de pouvoir rejoindre tout le monde quand il voudrait. Chuck fut soulager et donna toutes les coordonnés de ses amis, il avait raison, se serait plus pratique ainsi, car au bal, il avait donné que son numéro de téléphone à lui et c'était que Chuck qui avait pensé à lui laisser ses coordonnés, car les autres n'étaient pas toujours à leur affaire. Lorsqu'il eut terminé avec Matt, il prit le verre que Jessy lui avait apporté et lui raconta la conversation en détail.
- C'est drôle pareil qu'il ait demandé le numéro de Véro ! C'est fou comme les gars sont tous impressionnés par elle ! Depuis que je la connais, tous les gars que l'on rencontrait la regardait avec envie ou encore la sifflait, car ils la trouvaient belle. Et là, notre manager dit à David qu'il la trouve très sexy, comme pour faire changement et il demande son numéro de téléphone.
- Et tu trouves ça drôle toi ? Demanda Chuck, qui ne comprenait pas trop ce qu'il y avait de drôle.
- Ouais. Tu ne crois pas que Véro doit se tanner de toutes ces petites remarques et de toute cette attention que les gars lui portent ? Moi, je trouve ça un peu drôle, car d'une certaine façon, n'importe qui trouve qu'elle est innoubliable et je suis sûr que je demanderais à tous les autres de ressortir quelques caractéristiques chez elle, je suis sûr que tout le monde serait d'accord pour dire qu'elle est innoubliable cette fille !
- Ouais, mais tu exagères, ce n'est pas tous les gars qui l'ont regardé comme tu dis.
- Ah non.
- Bah pas moi en tout cas. Véro est super sympa, mais elle n'est tout simplement pas mon genre de filles. Je dirais même qu'elle m'énerverait, si j'étais trop avec elle. Puis, elle est jolie, mais je n'aime pas trop les filles qui sont trop superficielles. Même si à la voir la plupart du temps, elle est les deux, naturelle et superficielle, moi, ça m'étourdie une fille comme elle, mais je suis d'accord pour dire qu'elle est innoubliable. Je n'en connais pas deux des comme elle, ni des comme toi !

- Je peux prendre ça pour un compliment ? Demanda Jessy, amusée.
- Bien sûr, ma belle ! Et puis, d'une manière, ça doit pas plaire à David, tous ces concurrants ! Dit Chuck. Ça me fatiguerait de toujours voir des gars te regarder, franchement, j'aurais toujours l'impression que je te perdrais un jour ou l'autre.
- Ouais, et bien Véro n'est pas du genre à se laisser faire non plus. Elle aime David, alors il n'a pas d'inquiètude à avoir. En même temps, elle a déjà eut d'autres gars dans sa vie à comparé à David, puis elle est tellement imprévisible qu'il pourrait s'en inquiéter, mais on va surveiller Matt, il ne faut pas qu'il s'attache à Véro. Et puis, peut-être qu'on parle pour rien après tout, on ne sait rien de lui ou presque.
- Matthiew est peut-être déjà fiancé après tout.
- Non, je ne crois pas. À moins qu'il est rencontré quelqu'un depuis la dernière fois qu'on l'a vu.
- Ça alors Jess, tu te tiens informé toi, dit Chuck en buvant une autre gorgée de sa limonade. Au fait, merci pour la boisson, Beauté, ça fait du bien avec des chaleurs comme aujourd'hui.
- Ouais bah c'est plutôt Véro qui posait plein de questions, il disait qu'il était important de bien le connaître, puisque nous allions travailler longtemps avec lui, enfin on l'espère bien sûr. Puis, pour la limonade, elle est fraîchement faites et ça me fera toujours plaisir de te servir quoi que se soit pour te faire plaisir, en plus, t'as raison, ça fait vraiment du bien boire un bon verre par une journée pareil.
- Faudrait aller se baigner !
- Ouais, ça ne serait pas mal, mais qui on doit déranger ? Demanda Jessy, cherchant qui pourrait les dépanner.
- Géraldine peut-être. Si tu veux, je l'appelle !
- C'est une bonne idée, ça ferait vraiment du bien. J'ai tellement chaud que ça me donne mal à la tête.
- Ça sera pas long, dit Chuck en prenant le téléphone.
Charles téléphona, mais ce fut Sebastien qui répondit. Il lui parla d'abord des des dernières nouvelles que Matt lui avait dit et prit soin qu'il prenne les dates importantes en note. Seb promit d'en parler à Géraldine, puis ensuite, ils parlèrent tranquillement d'un peu de tout. Entre autre qu'ils trouvaient la journée parfaite, même s'il faisait un peu chaud, alors Chuck en profita pour parler que lui et Jessy aimeraient bien aller se baigner. Sébastien trouva l'idée excellante et les invita avec plaisir, se disant qu'il était bien de passer un moment d'intimité avec sa copine, mais que là, il serait bien de voir des amis un peu. Lorsque Chuck raccrocha le téléphone, il regarda Jessy et se dit que ça lui ferait vraiment du bien de se raffraîchir, il semblait vraiment au bout du rouleau. De grosses gouttes de sueurs perlaient sur son front, quant à ses yeux, ils semblaient vouloir fermer à tout instant. Elle affichait un sourire fragile, mais il voyait bien que c'était un peu forcé, car elle semblait justement, au bout de ses forces. Il faisait tellement chaud que lorsqu'il regardait dehors, il semblait voir de l'eau mirer un peu plus loin sur la route, mais c'était qu'illusion. Il venait de boire un grand verre de jus, mais il avait encore très soif, c'était une journée des plus chaudes qu'il peut y avoir l'été. En plus de la chaleur, l'humidité était bien présente et dans ces cas-là, c'est vraiment moins endurable et très désagréable comme sensation et ambiance. Chuck maudissait ses parents de ne pas s'être procurrer une piscine dans ces jours de chaleur là, mais il n'y repensait pas lorsque la chaleur disparaissait au file de l'été. Par contre, à ce moment précis, il aurait aimé ce téléfaxer direct chez ses amis pour ne pas avoir à marcher jusque chez eux et encore plus perdre de l'énergie.

Ce fut qu'au bout de deux mois que le père des Desrosiers s'en sortit véritablement. Entre temps, les deux groupes firent leur premier album et quelques spectacles qui marchèrent très bien. La grossesse de Marie allait très bien, Pierre était aux anges, mais avait toujours un fantôme qui le suivait constamment... Géraldine, tant qu'à elle, un malheur lui arrive, ce qui changea sa perception de vie et ses habitudes, elle changea du tout au tout. Sébastien l'aime comme un fou, alors il décide de faire quelque chose sur un coup de tête. Jessica est tombé enceinte de Jeff, mais elle n'est plus du tout sûr de ses sentiments pour lui. Jeff, lui, regarde une autre femme, ce qui causera une grande peine à Jessica... Jessy est toujours malade, mais Chuck s'en aperçoit et s'en occupe, il ne pourrait jamais accepté de perdre la seule fille qu'il a vraiment aimé. Stacy a une offre d'emploi intéressante qu'elle ne peut refuser, Jonathan en est très fier et monte dans l'échelle de la gloire avec elle, quoi qu'il en profite plus qu'autre chose... Joël finit dans les bras d'Alison, car ils ont un point en commun... Matt perd la personne qui lui est le plus cher. Véro se fait autant courir après par plein de gars, cela la déstabilise, surtout que David en vient jaloux et distant et il doute que Pierre essait de faire revivre une passion enterrée...
Cette histoire qu'est "The time of a life" vous a plu ? À moi, oui. Est-ce que ceci annonce la fin ? Peut-être, à vous d'en décider. Il y a quelques options, soit je termine cela comme ça, car la fic est trop longue, soit je continue avec les idées que je vous ai donné... c'est-à-dire, je continue comme c'est là ou bien, je refais une deuxième partie de "The time of a life" en créant une ambiance, mais de leur vie adulte... en gros, que je saute un gros bout... À vous de me dire ce que vous préférez, moi, je vais voir ce qui est le plus voté...