The time of a life
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The time of a life

Un forum sur une histoire grandement apprécier écrite par Marie et Véro, maintenant prise en charge seulement par Véro. Vous pourrez lire une histoire mixé avec les gars de Simple Plan adolescent et cinq adolescentes.
 
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 Épisode 11: Malchance

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Marie
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Marie


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Localisation : Dans les bras de Pierre
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MessageSujet: Épisode 11: Malchance   Épisode 11: Malchance EmptyMer 18 Jan 2006 - 14:22

Épisode 11...Malchance !

Marie se réveilla avant Pierre ce matin là, ce qui lui permit d’aller à la salle de bain. Lorsqu’elle revint, Pierre était assis sur son lit et regardait un album photo que Marie avait laissé ouvert sur son bureau.
- Ah té réveillé.
- Ouais.
- Désolé de t’avoir réveillé, ce n’était pas mon but.
- Ce n’est pas grave. Je ne t’en veux pas, allez viens ici.
- Il ne fait pas beau dehors !
- Non, mais toi tu sens vraiment bon !
- Ah merci.
- Ça sent les cerises ?
- Ouais exactement.
- Ça donne le goût de te croquer.
Pierre embrassa Marie et se leva ensuite pour s’habiller.
- Té boxers ont des trous !
- Je sais.
- Je vais t’en acheter alors !
- Si tu veux.
- Bah si David va en ville avec Véro comme il l’avait prévu, alors on ira avec eux.
- Tu veux vraiment que j’aie des boxers neuf ?
- Ouais, mais aussi que j’avais promis d’être auprès de Véro quand elle se ferait faire son percing.
- Ah c’est aujourd’hui qu’elle aura son fameux cadeau ?
- Ouais. Bah David m’a dit ça avant que Véro arrive, mais je crois bien qu’il va l’amener de force s’il faut.
- Peut-être bien. Si tu ne me lâches pas Marie, je ne pourrai pas mettre mes pantalons.
- Ouais, mais c’est possible que je ne veuilles pas que tu les remettes maintenant.
- Si je ne les remets pas, je vais avoir froid dehors.
- Tu n’es pas obligé d’aller dehors.
- Je sais, mais il faut que je retourne chez nous. Je n’ai pas super le choix.
- D’accord, mais je t’appelle tantôt pour te dire si finalement on va en ville.
- Pas de problème. Tu ne descends pas avec moi, sinon je ne voudrai plus partir. Je t’aime beauté.
- Moi aussi.
Pierre embrassa Marie et descendit en bas et se dépêcha de sortir, ne voulant pas rebrousser chemin pour un dernier baiser. Marie était allée s’asseoir sur son lit et avait prit son album photo. Elle prit quelques paquets de photos ressentes qu’elle n’avait pas encore rangé et les plaça dans l’album. Elle sourit en voyant une d’elle sur la scène pendant le concours des groupes. Elle décida de ne pas la ranger là et de l’accrocher sur son mur à côté de celle du groupe des gars. Elle les contempla et décida de descendre à la cuisine. Véro était assise à la table devant une tasse de chocolat chaud et elle lisait le journal.
- Salut Véro ! Bien dormi ?
- Ouais, c’était pas trop mal.
- Pas trop mal ? D’habitude ça devait te réjouir plus d’avoir dormi avec ton chum.
- Je sais.
- Il y a quelque chose qui ne va pas ?
- Bah pas exactement. Je ne sais pas comment te le dire.
- Prends ton temps.
- Bah, j’ai peur d’être tomber amoureuse de Jonathan.
- Allons Véro, tu ne peux pas être amoureuse. Je crois plutôt que tu l’apprécies beaucoup, après tout il est de la même famille que David, mais je suis presque certaine que tu ne l’aimes pas autant que Dav.
- Bah pas plus que Dav, c’est vrai.
- Alors, tu n’es pas vraiment amoureuse de lui. Surtout avec la réaction que tu as eu quand il t’a embrassé et cette impression de honte.
- Tu as peut-être raison après tout. C’est juste que, j’avais tout le temps l’envie de lui prouver que j’étais quelqu’un de bien. Comme si je voulais le forcer à m’aimer.
- Allons, tu dis n’importe quoi. Ressaisis- toi Véro !
- Tu as raison.
- C’est aujourd’hui pour ton percing ?
- Ouais.
- Tu as hâte ?
- Évidemment. Je veux me faire percer le nombril.
- C’est cool ça. Tu crois que je peux toujours y aller ?
- Oui ! Je veux que tu viennes avec moi.
- J’amène Pierre ?
- Ouais si tu veux. Il a couché ici ?
- Oui, tu sais ça comment ?
- Bah, je voulais aller te parler et j’ai vu que tu n’étais pas seul.
- Quand ça, ce matin ?
- Bah si on veut, vers 2 heure du matin.
- Et tu as fait quoi alors ?
- Je me suis connecté et j’ai parlé avec Gege.
- Ah bon, c’est une bonne idée. Et qu’est-ce qu’elle faisait debout à cette heure là ?
- Bah Joël, Seb…
- Ah ouais, je comprend. Elle doit savoir que Seb l’aime toujours.
- C’est ça. Ah oui et Jess va passer le jour de l’an avec nous.
- Cool ! Je lui aurais proposé, en plus Chuck va être là aussi.
- Ouais, c’est se que Gege s’est dit aussi. Alors, elle a invité Jess. Puis, je l’ai invité à dormir chez nous, car ses parents veulent être seuls, alors tu pourrais rester toi aussi.
- C’est une bonne idée, ça fait un petit bout qu’on n’a pas veillé les quatre ensemble.
- Je sais et j’ai demandé à Jeff d’aller dormir ailleurs, alors les gars vont tous se réunirent chez Seb.
- Ouais, TOUS chez Seb, dit David en entrant dans la cuisine.
David passa près de Marie et lui donnant une petite tape derrière la tête et alla embrasser Véro.
- Véro tu sais ce que j’aime ?
- Bah je sais que tu m’aimes, sinon quoi ?
- Ah c’est évident que je t’aime. Non, mais j’aime ça quand tu viens chez nous, tu fais toujours comme si tu étais chez toi. Tu vas prendre mon ordi en pleine nuit, tu descends en bas et tu déjeunes, tout ça comme si tu étais chez toi. Je trouve ça génial.
- C’est sarcastique ton affaire ? soupçonna Marie.
- Pas du tout, répondit David. Je détesterais ça que Véro demande toujours si elle peut manger ou si elle peut utiliser la salle de bain. J’aime bien mieux qu’elle me laisse dormir et qu’elle agisse en personne autonome.
- Bah merci David !Au fait, Pierre et Marie vienne avec nous après-midi.
David allait faire une remarque pour taquiné Marie, mais se souvint de se que Véro lui avait dit la veille, alors il répondit en faisant un sourire.
- Ah super !
- David, tu as beau te forcer, mais ça sonnait tellement faux là, dit Marie en riant.
- Bah au moins je me suis retenu pour dire que tu était une vilaine sorcière de l’ouest.
- Merci frérot, tu as enfin apprit que je n’étais pas une sorcière.
Véro riait dans son coin.
- Bah c’est plus pour faire plaisir à la déesse de la beauté, répliqua David en haussant les épaules.
- La déesse de la beauté ? dit Marie.
- Bah ouais, Véro. D’ailleurs mon amour, tu as hâte d’avoir ton percing ?
- Ouais, très hâte.
David sourit en voyant que Véro semblait aller beaucoup mieux que la veille, enfin que leurs dernières discussion. Il ordonna à Marie de lui faire à déjeuner, mais voyant qu’elle ne se levait pas, Véro se leva elle-même pour servir Dav. Marie ne semblait pas d’accord que son frère se fasse servir, alors Véro servit aussi Marie pour la faire arrêter de chialer. Pendant que Marie et David mangeaient, Véro était maintenant certaine que c’était David l’homme de sa vie, pas ce Jonathan Desrosiers. Elle sourit de s’être maintenant résonné.


Dernière édition par le Mer 18 Jan 2006 - 14:29, édité 1 fois
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Marie
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MessageSujet: Re: Épisode 11: Malchance   Épisode 11: Malchance EmptyMer 18 Jan 2006 - 14:22

Jessy s’était réveillée beaucoup plus tôt que Géraldine, elle ne savait pas son amie s’était finalement couché très tard à cause de ses problèmes d’amour. Jessy avait alors décider d’aller prendre une douche, de déjeuner et d’aller jouer un peu de guitare. Elle s’amusa d’abord à jouer un peu de musique Métal et continua avec les compositions de ses amies. Elle trouva quelques nouveaux accords à ajouter dans chacune des chansons et décida d’arrêter pour remonter dans sa chambre, Géraldine dormait toujours. Elle décida tout de même que son amie avait assez dormi, alors elle ouvrit ses rideaux avec l’idée de faire entrer le soleil, mais c’était trop nuageux et Géraldine dormait encore. Elle décida alors de la réveillé en disant son nom et ça donna l’effet voulu, car Géraldine ouvrit les yeux, apparemment encore très fatigué. Jessy dit alors pour taquiner son amie :
- Alors bien dormi ?
- D’après toi ? Dis Géraldine en riant.
- Tu sembles avoir dormi sur la corde à linge dehors à te voir la face !
- Merci. Bon, maintenant que je suis réveillée, on fait quoi pour enlever ma face de zombie ou de monstre ?
- Bah ma mère veut que j’aille faire quelques petites commissions au dépanneur du coin, alors c’est ce qu’on va faire !
- Bonne idée, l’air frais.
Géraldine regarda alors par la fenêtre et cacha son visage dans son oreiller.
- Allez Gege, on y va !
- Ouais, mais il fait tellement pas beau dehors ! Ça aurait prit un soleil pour me réveillé ou même encore une gros 40 degré !
- C’est ça l’hiver ma Gege, c’est comme ça.
Géraldine soupira et décida enfin de se lever. Elle s’habilla rapidement et les deux filles sortirent de la maison en riant, Géraldine semblait bien réveillé maintenant. Lorsqu’elles sortirent du dépanneur, leurs sourirent s’effaça. Elles reconnurent la voiture rose bonbon d’Allison et poussèrent un profond soupire. Allison sortit de sa voiture et alla à la rencontre des deux filles.
- Alors comment va David ? J’espère qu’il n’est pas trop triste !
- Ta gueule Allison ! David va très bien et il n’en veut pas du tout à Véro, ton plan n’a pas marché, dit Géraldine d’un ton sec.
- Je croyais que tu étais mon amie Géraldine et que je t’avais appris ce que c’était les gens biens.
- Ouais, tu me l’as appris aussi. Je sais maintenant que toi tu es une petite garce qui pense qu’à elle-même !
- Pourquoi penser aux autres quand c’est des folles comme vous ?
- C’est toi qui a le plus l’air folle Allison ! Tu veux avoir David, mais tout ce que tu réussis à avoir, c’est qu’il rit de toi, dit Jessy en riant.
- C’est tout à fait faux.
- Tu ne peux pas le savoir, car David ne t’adresse plus la parole ! Allez Allison, repars pleurer dans ton château de carte et fou nous la paix ! répliqua sèchement Géraldine en entraînant Jessy dans l’autre sens.
- Attendez les filles, cria Erika en courant pour les rattraper, après qu’Allison soit entré dans le dépanneur.
- Qu’est-ce que tu veux ? demanda Géraldine.
- Vous avertir d’un truc.
- Vas-y, dit alors Jessy.
- Bah Allison veut s’arranger avec Jonathan pour que Véro tombe amoureux de lui. Alors, David va croire que Véro avait menti au début et Allison va aller voir David.
- Sale Garce ! dit Jessy très fâché. Au fait Erika, pourquoi tu nous dis ça ?
- Bah j’en devais une à Géraldine à cause de Joël.
- Merci, dit Géraldine un peu gêné.
- Au fait Géraldine, Joël t’aime pour vrai !
Voyant que Géraldine était mal à l’aise, Jessy décida de changer de sujets.
- Tu sais comment Allison a eut la photo ?
- Bah ouais.
- Tu peux nous le dire ou c’est trop secret.
- Bah pourquoi pas. En fait, c’est qu’elle a demandé au frère de Jonathan qui s’appelle Gabriel, de les espionner.
- Comment Allison connaît ce Gabriel, continua à questionner Jessy.
- Un de ses ex. Bon, ça suffit l’interrogatoire !
Erika repartit de peur qu’Allison la voit parler avec leurs ennemies. Jessy se mit à rire et se tourna vers Géraldine qui se demandait se que Jessy avait.
- Tu crois vraiment que Véro aurait tombé dans ce piège là ? dit Jessy en riant encore plus fort.
- Bah peut-être.
- Qu’est-ce qui te fait dire ça ?
- Bah j’ai réfléchit à ça et puis, je crois que Véro a eut des doutes.
- De quoi ?
- Bah si elle n’a pas parlé de David immédiatement et qu’elle s’est endormie sur l’épaule de ce gars, c’est qu’elle était peut-être…
- Arrête-toi Gege. Véro aime David, entre-toi bien ça dans la tête et cesse de croire Allison, ce n’est qu’une folle qui essaie de te faire croire des trucs !
- Tu as raison, excuse-moi.
- Bah pas grave et puis tu sais quoi, de mon avis, elle prépare autre chose.
Effectivement, Allison avait obligé Erika d’aller dire ça aux filles pour qu’elles ne s’attendent pas de son vrai plan. Allison avait mis au point, avec l’aide d’un ami, un plan qui démolirait Véro et David. Lorsque Erika alla rejoindre Allison, elle lui dit que tout était parfait. Que les deux filles s’attendaient à se qu’Allison arrange quelque chose avec Jonathan. Allison ne put s’empêcher de sourire, c’était son passe-temps favoris d’énerver le monde. Elle acheta alors ses affaires et sortit du petit magasin, puis repartit chez elle en riant.
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MessageSujet: Re: Épisode 11: Malchance   Épisode 11: Malchance EmptyMer 18 Jan 2006 - 14:23

Sébastien s’était levé avec un gros mal de tête. Pierre lui avait lancé la rondelle de hockey sur la tête et il avait un gros bleu sur la tête. Sébastien alla donc prendre un comprimé pour apaiser la douleur. Ayant vu l’épouvantable température, il alla se recoucher. Il ne réussit pas à se rendormir, mais au moins ça lui avait permis de bien réfléchir à se qu’il pourrait faire se sa journée. Pourtant, il n’avait pas trouvé beaucoup d’idée. La seule qui lui tentait un peu était d’aller jouer de la guitare, mais comme il avait mal à la tête, il se disait qu’il ne pourrait en jouer toute la journée. Il haussa les épaules et descendit au sous-sol. Il prit sa guitare et commença à en jouer, il se mit à sourire en pensant à Géraldine, lorsqu’il brisa une se ses cordes. Sébastien se mit à sacrer en regardant sa corde. Il la retira et remonta en haut, il chercha où il avait bien put mettre ses cordes de guitare de rechange. Lorsqu’il trouva enfin la boîte il constata que la corde qu’il venait de cassé était la seule qui manquait dans le paquet. Il fulmina et décida d’aller s’en acheter immédiatement. Il monta dans sa chambre pour aller chercher son portefeuille, prit son manteau et sortit. Il marcha jusqu’au magasin de musique, même si c’était à au moins vingt minutes de marche. Il aurait bien prit la voiture, mais ses parents étaient partis avec ce matin. Lorsqu’il arriva enfin au magasin, il constata que le vendeur qui était là, c’était Joël. Il eut envie de rebrousser chemin, mais se dit qu’il n’avait pas fait vingt minutes de marche pour finalement revenir les mains vide. Il entra dans le magasin et se dirigea vers la tablette où était situé les cordes de guitare, sans porter un seul regard vers Joël. Il prit se qu’il cherchait et se dirigea vers le comptoir.
- Salut Sébastien. Alors, tu as besoin de cors de guitare à se que je vois.
- Ouais.
- Je suis désolé.
- Pourquoi ?
- Bah pour Géraldine, je sais bien que tu l’aimes et que ça te fait chier que c’est moi qu’elle aime.
- Je suis pressé Joël.
- Allons, ne change pas de sujets comme ça. Je suis désolé.
- C’est bon, Joël. Je ne t’en veux pas.
- Je sais que c’est faux, mais je vais te croire quand même. Je n’ai pas envie non plus d’étirer ça pendant cent ans.
Sébastien paya ses cordes de guitare et partit sans même dire salut. Il se dépêcha de revenir chez lui, puis alla rejouer de la guitare. Il n’arrivait pas à croire que Joël s’excusait que Géraldine l’ait aimé. Sébastien décida de sortir les textes que Pierre lui avait laissé pour qu’il trouve une musique et commença à travailler dessus. Il accrocha sur « Addicted » qu’il trouva très bien pensé, il trouva donc la musique et décida que dès qu’il le pourrait, il le jouerait à Pierre.

Pierre était arrivé rapidement chez les Desrosiers dans l’après-midi, il avait dû attendre les filles qui prenaient beaucoup de temps à se préparer. Finalement, ils sortirent dehors et c’est David qui alla s’asseoir du côté conducteur.
- Oh non David, tu ne conduis pas ! dit Pierre.
- Si je ne conduis jamais, je ne pourrai jamais m’améliorer, répliqua David.
- Il a raison Pierre, dit Véro pour défendre David.
Pierre voyant qu’il ne pourrait pas les faire changer d’avis, embarqua à l’arrière avec Marie. Véro alla s’asseoir à l’avant et sourit en voyant que David était super content de pouvoir enfin conduire la voiture. Elle se dit qu’il avait bien droit à sa chance lui aussi. Véro mit alors la radio et commença à chanter avec Marie. Tout allait bien, même Pierre avait finalement changé d’air et chantait avec tout le monde. Véro se tourna pour regarder à l’avant et cria en voyant une voiture arriver devant eu, David ne pouvait pas tourner du côté de l’autre voie, car il y avait une voiture, alors il prit une chance en tournant de l’autre côté, mais perdit le contrôle de la voiture. Marie se ferma les yeux pendant que Véro criait et que David essayait de replacer la voiture. Finalement, la voiture fit une collision du côté passager, la vitre éclata en morceau. Pendant quelques secondes, la secousse avait était très forte, lorsque tout le monde réalisa se qui c’était passé, ils s’empressèrent de vérifier si tout le monde allait bien. Marie et Pierre avaient des égratignures sur le visage à cause de la vitre, David était seulement un peu secoué et avait des grosses marques dû à sa ceinture. Véro était inconsciente, elle avait plein de vitre sur elle et il semblait y avoir du sang dans ses cheveux. David paniqua, mais Pierre l’avertis de ne pas trop la toucher pour ne pas causer de problèmes encore plus grave. Le conducteur de l’autre voiture n’avait presque rien eu, alors il était sortit voir si tout allait bien. David ouvrit sa fenêtre et commença à lui crier des insultes et lui ordonna d’appeler du secours. Le monsieur devait avoir dans la vingtaine, il était paniqué après avoir vu la jeune fille pleine de sang. Il appela vite les urgences et heureusement pour eux, l’ambulance arriva en pas grand temps. Les ambulancier s’occupèrent d’abord de sortir Véro et de s’assurer qu’elle respirait toujours, son pouls était faible, mais elle respirait toujours. Ils l’embarquèrent dans l’ambulance. David embarqua immédiatement à l’arrière, suivi de Pierre et Marie. Les ambulanciers préféraient tous les amener pour être sûr que tout le monde était correct.
- Oh si je le pouvais, je le tuerais cet homme, dit David avec les yeux plein d’eau.
- Allons David, ce n’est pas en le tuant que tu vas aider Véro. On est tous inquiet, mais calme-toi un peu, dit Marie.
- Je vais appeler les autres, décida Pierre en sortant son cellulaire.
- Bonne idée, approuva Marie en gardant les yeux sur Véro qui semblait inerte.
David avait la main de Véro serrer dans les siennes, il surveillait ses paupières, espérant qu’elle les ouvre et qu’elle décide qu’ils fallait qu’ils rentrent. David s’en voulait d’avoir prit le volant, Pierre lui avait déconseillé, il aurait du l’écouter. Pierre avait Chuck au bout de la ligne, après avoir essayer chez Sébastien.
- Ah salut Pierre !
- Écoute Chuck, on a eu un accident.
- Pour vrai ? Où ça ?
- Bah sur l’autoroute, on allait en ville et un homme nous a rentré dedans.
- Ok et tout le monde va bien ?
- Tous sauf Véro.
- Merde.
- Bah on est dans l’ambulance là, il faudrait que tu préviennes un peu tout le monde, mais fait attention avec Jeff.
- Pas de problème, on va aller vous rejoindre.
- Ok, mais occupez-vous de la voiture. On ne peut pas vraiment la laisser là.
- Écoute Pierre, calme-toi je prend ses choses là en main. On arrive dans pas trop long, le temps de se rendre.
- Ok merci Chuck.
Pierre raccrocha et prit Marie dans ses bras. Elle semblait très inquiète pour son amie Véro, il l’était aussi, d’ailleurs.

Chuck s’empressa de rejoindre Jeff et commença à stresser quand il entendit la voix de madame Stinco.
- Euh bonjour madame, c’est Charles.
- Oh salut Charles, comment tu vas ?
- Bien, mais…
- Tu veux que je préviennes Jeff que tu es au téléphone ?
- Attendez madame. Votre fille a eu un accident.
- Quoi ?
- Bah elle était partit avec David, Marie et Pierre, puis ils ont eu une collision avec une autre voiture qui arrivait dans le mauvais sens.
- Bon, ils sont où là ?
- Ils s’en vont à l’hôpital, ils sont dans l’ambulance.
- Ok merci Chuck, on s’y rend.
- Désolé madame.
- C’est n’est pas ta faute, jeune homme.
Ils raccrochèrent et Chuck alla chercher les filles qui étaient au salon et ils partirent en direction du lieu de l’accident. Ils y trouvèrent des policiers et arrêtèrent pour aller régler certaine chose.
- Vous ne pouvez pas rester ici, les prévint le policier.
- Bah c’est nos amis qui ont eu l’accident, dit Jessy les yeux plein d’eau.
- D’accord, ils vous ont chargé de vous occuper de la voiture ?
- Ouais, c’est ça, dit alors Chuck.
- On allait s’en charger, dit le policier. Vous n’avez qu’à signer votre accord sur le papier et on va s’arranger pour l’amener au garage.
Chuck regarda la feuille, il y laissa l’adresse et le numéro de téléphone des Desrosiers et signa. Ils rembarquèrent dans la voiture et allèrent en direction de l’hôpital, sans toutefois dépasser les limites ne voulant pas causer un autre accident. Arrivé à l’hôpital, il demanda à la réceptionniste où était ses amis et s’y rendit rapidement. Ils aperçut tout le monde assis dans la salle d’attente attendant d’avoir plus d’information de la part du médecin. Madame Desrosiers et Madame Stinco y était déjà et attendait impatiemment des bonnes nouvelles. L’ambiance était assez nul, selon Chuck et se mit à espérer que tout ça n’ait jamais eu lieu.
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MessageSujet: Re: Épisode 11: Malchance   Épisode 11: Malchance EmptyMer 18 Jan 2006 - 14:23

Sébastien était assis sur son lit, il ne dormait pas, mais rêvassait. La sonnerie du téléphone l’avait sortit de sa rêverie, lorsqu’il décrocha enfin, il n’y avait plus personne sur la ligne. Sébastien se dit que se devait être quelqu’un qui avait fait un faux numéro et retourna dans sa chambre. Il décida d’appeler Pierre pour lui parler de la mélodie qu’il avait écrit, il resta surpris d’entendre Chuck répondre.
- Ce n’était pas Pierre que j’avais appelé ?
- Ouais, mais il est allé passé des examens.
- De quoi tu parles ? On n’a pas de cours.
- Non épais, des examens avec le médecin ! Ils ont fait un accident !
- Té sérieux ? Merde qui ça ?
- Véro, Marie, David et Pierre.
- Pis comment ils vont ?
- Bah Véro apparemment est dans un coma et les autres sont encore sur le choc.
- Merde. C’est quoi qui c’est passé ?
- Bah un gars soûl a foncé dans la voiture de David du côté passager, se qui explique l’état de Véro. Puis, David conduisait, mais ne pouvait ni aller à droite, ni à gauche, car il y avait des voitures des deux côtés. Ils étaient sur l’autoroute.
- Oh merde ! Té où là ?
- Bah à l’hôpital dans la salle d’attente, on attend de voir s’ils ont quelque chose pis si Véro va s’en sortir.
- C’est grave à ce point là ?
- Ouais malheureusement. Sauf que d’après les ambulanciers, elle va s’en sortir avec seulement une grosse peur.
- Bah espérons que ce n’est que ça ! Est-ce que leurs parents sont au courant ?
- Ouais, à part ceux de Pierre.
- Tu veux que j’appelle ?
- Si tu veux, mais j’ai essayé tantôt et ça ne répondais pas.
- Bah tu veux que j’aille vous rejoindre ?
- Bah si tu veux, pour venir chercher Géraldine et Jessy.
- Pourquoi ?
- Bah il y a trop de monde là, ce n’est pas mieux.
- T’a raison, je vais venir les chercher alors.
Sébastien raccrocha et alla chercher les clefs de la voiture de ses parents. Il arriva à l’hôpital et se fit dire qu’ils étaient dans une chambre. Il monta donc à l’étage et arriva à la chambre 217. Il n’y avait qu’une seule personne dans le lit et c’était Véro. Sébastien était soulagé de voir qu’elle semblait pas trop mal, elle avait les yeux ouverts et essayait de rassurer David.
- Alors Véro, je vois que ça va pas pire, dit Sébastien en s’approchant du petit lit.
- Ouais.
- Je lui avais dit à David de ne pas prendre la voiture, dit Pierre en riant.
- Allons Pierre, tu n’aurais pas pu faire mieux, dit Marie.
- Je sais, je taquine David c’est tout, se défendit Pierre. Il faut bien rire un peu, sinon tout le monde à le morale à plat et ce n’est pas drôle !
- Il a raison, approuva Véro voyant que tout le monde semblait être prêt à lui arracher la tête. Moi, ça me fait bien rire se que dit Pierre, alors laissez-le tranquille.
- Merci Véro, dit Pierre.
- Bah pas de problème, tu faisais pitié, dit Véro en souriant.
- C’est plutôt toi qui fait pitié en ce moment, dit Jeff. Tu t’aies vu la tête ? Ton maquillage est tout défait !
- JEFF, crièrent tout le monde d’une même voix.
Véro riait au éclat, elle riait tellement que ça lui faisait mal au ventre, puisqu’elle avait reçu un morceau de vitre sur le ventre. David ne disait rien, il se contentait de caresser la main de Véro qu’il n’avait pas lâché depuis qu’elle était dans la chambre. Véro regarda alors David et lui sourit.
- Ça va David ? demanda Véro.
- J’ai tellement eu peur pour toi, mon poussin.
- Je sais, mais ça va là. Souris-moi.
David fit un sourire forcer pour faire plaisir à Véro.
- Allez, mieux que ça ! Approche, dit alors Véro.
David approcha son visage de Véro et elle l’embrassa tendrement, sous les regards de ses amis content. David sourit à Véro et l’embrassa sur le front avant de se rasseoir.
- Tu es beaucoup plus beau quand tu souris, dit Véro.
- Ah toi déesse de la beauté ! dit David, visiblement rassurer.

Finalement, Véro eut l’obligation de rester à l’hôpital pour la nuit, si jamais il y avait des problèmes pendant son sommeil. Tout le monde était rentré chez eux et Marie avait dû tirer son frère pour le ramener vers la voiture et le faire entrer dans la maison. Marie était assise sur le lit de son frère et tentait de le convaincre que ce n’était pas sa faute.
- Allez David, personne n’aurait pu faire mieux ! Le seul coupable, c’est ce vieil homme !
- Peut-être, mais laisse-moi seul.
- D’accord, s’il y a un problème, viens me voir.
- Ouais.
David ferma sa porte derrière Marie et sortit une feuille et un crayon. Il commença par griffonner le nom de Véro sur le coin et écrivit quelques mots. Il finit par s’endormir après avoir écrit un texte.

Marie était retournée dans sa chambre et n’avait pas vraiment le goût de faire quoi que se soit. Même s’il était encore très tôt, il décida de se coucher pour que la journée finisse au plus vite. Marie avait très mal au ventre et au bras, à cause de la vitre et de la ceinture. Elle ferma les yeux et revit tous les moments de l’accident, elle se réveilla plusieurs fois, en sursaut, durant la nuit, mais finit par dormir un peu.

Chuck avait ressentit la grande peine de sa sœur. Elle était assise dans le salon et semblait penser, Chuck décida d’aller la consoler.
- Hey ça va ptite sœur ?
- Ça pourrait aller mieux.
- Je sais, tout le monde est bouleversé.
- Ce n’est pas vraiment à ça que je pensais en ce moment.
- Ah bon. Tu pensais à quoi, alors ?
- Seb…
- Il t’aime.
- Je sais.
- La question est de savoir si toi tu l’aimes ?
- Bah je crois que oui, mais j’ai peur de me tromper. Enfin, j’avais l’intention de lui dire aujourd’hui, mais les événements ont fait que je ne lui ai rien dit.
- C’était inattendu pour tout le monde, puis tu as encore le temps de lui dire à Seb. Il n’a pas d’autres filles en vue pour le moment.
- Merci de me rassurer en ajoutant, pour le moment !
- Bah c’est vrai, quoi. Il t’aime toi et il a de la difficulté à décrocher.
- C’est mieux de même. Bon, je vais me coucher !
- Bonne idée ça, bonne nuit la sœur !
- La sœur ? Comme si j’étais la sœur de n’importe qui !
- Bah ma sœur d’abord !
Géraldine sourit à son frère et monta jusque dans sa chambre où elle se coucha et s’endormit. Chuck alla également se coucher après avoir manger un peu, car il avait faim depuis longtemps, mais n’avait pas osé le dire pour paraître impolie.

Jeff était assis dans le salon avec sa mère et son père. Sa mère était blanche et ne parlait pas, en fait personne osait parler. Jeff se tanna et finit par briser le silence.
- Vous dites rien ?
- Qu’est-ce que tu veux que je dises Jeff ?, demanda sa mère.
- Ce que tu penses, répondit Jeff.
- D’accord. Alors, je pense que Véro devrait arrêter de se tenir avec David, car il a une mauvaise influence sur elle.
- De quoi ?
- Tu l’as vu aussi bien que moi ce soir, elle disait des trucs insensés ! Puis, David ne devrait pas conduire.
- Je suis d’accord que Véro n’est plus la petite fille bien élevé, mais je suis fière d’elle. Elle a enfin découvert qu’elle avait le droit de dire se qu’elle pense ! Puis, ce n’est pas David qui ne devrait pas conduire, mais ce fou qui les a frappé !
Voyant que sa mère ne répondait pas, car elle savait qu’il avait raison, Jeff décida de monter dans sa chambre, laissant ses parents dans le salon. Jeff se disait que sa mère ne pensait pas vraiment se qu’elle avait dit et qu’elle l’avait dit simplement, car elle était encore sur le choc. Il se laissa tomber sur son lit et s’endormit en pensant à sa Jessica.
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MessageSujet: Re: Épisode 11: Malchance   Épisode 11: Malchance EmptyMer 18 Jan 2006 - 14:25

Jessy, elle ne se fit pas prier pour s’endormir. Elle était tellement fatiguée quand Chuck la déposa chez elle après être revenus de l’hôpital, qu’elle s’était endormie tout habillé.

Au matin, Véro se leva avec une énorme faim. La veille, l’accident lui avait coupé l’appétit, alors elle n’avait pas vraiment manger, mais maintenant qu’elle se réveillait, la faim la rongeait. Elle appuya sur le bouton qui lui permettait de prévenir les infirmières qu’elle avait besoin de quelque chose et replaça ses oreillers. L’infirmière entra dans la chambre et vérifia son pouls.
- Bien dormi mademoiselle Stinco ?
- Oui, merci, mais j’ai terriblement faim.
- Ça se comprend, vous n’avez rien avalé hier soir.
- Je n’avais pas vraiment faim.
- C’est très normal après un accident. Le médecin a dit que vous êtes assez en forme pour quitter l’hôpital aujourd’hui.
- Tant mieux ! Ce n’est pas mon genre de rester coucher dans un lit durant toute la journée.
- Je comprend, mais vous devrez quand même vous reposez dans les prochains jours.
- Vous ne me l’auriez pas dit et je l’aurais fait quand même. Je suis tellement fatiguée.
- C’est normal. Bon, je vais aller chercher votre petit déjeuner.
- Bah merci.
L’infirmière quitta la chambre, se qui soulagea Véro. Elle détestait que cette femme dise qu’elle comprenait, comme si elle avait passé par le même chemin qu’elle. Elle décida d’appeler David pour lui dire qu’elle pourrait quitter aujourd’hui et qu’elle aimerait qu’il vienne le chercher. Elle détesta encore plus l’hôpital après avoir eu enfin la ligne, elle avait dû parler à au moins quatre femme pour enfin avoir la ligne.
- Salut, dit une voix encore endormi.
- Euh salut, je pourrais parler à David ?
- Ah Véro, c’est toi ? demanda monsieur Desrosiers.
- Ouais.
- Bon, je vais prévenir David, un instant.
- Merci.
Véro attendit un long moment avant d’entendre enfin la voix de David. Au même moment l’infirmière entra avec un plateau plein de trucs qui semblaient immangeable. Elle fit signe à la dame de déposer le plateau sur la table et la remercia avant de répondre à David.
- Désolé David, on vient de m’apporter un semblant de petit déjeuner.
- Hum rassurant ça !
- Bah ouais. Enfin, j’appelais pour dire que je pourrais sortir aujourd’hui.
- Ah ouais, c’est super ça !
- J’aimerais que tu viennes me chercher.
- Je ne sais pas trop.
- Allons, fais-moi plaisir. Puis, il faudra bien que tu reprennes la voiture un de ses jours.
- Tu as raison, mais bon pas aujourd’hui. Ça t’embête si je viens, mais avec mon père ?
- Non, pas du tout. S’il veut bien sûr, sinon j’appellerai Jeff.
- Pas de problème, mon père m’a lui-même fait signe qu’il acceptait de venir.
- Merci. Ah et le plus tôt possible serait parfait, je n’ai pas envie de rester ici trop longtemps.
- À t’entendre parler, on dirait qu’ils te maltraites.
- C’est presque le cas, je déteste cet endroit.
- Une chance pour toi que tu sortes aujourd’hui, car tu aurais été bien malheureuse.
- C’est le cas de le dire. Bon, l’infirmière veut que je raccroche, je déteste cet endroit David. Viens me sauver, dit Véro en riant.
- Pas de problème ma belle, j’arrive ! Non, mais sérieusement, on vient quand ?
- Bah là, maintenant !
- Pas de problème, on arrive.
David raccrocha et demanda à son père, s’ils pouvaient partir dès maintenant.
- Bah après qu’on ait mangé, David. Relaxe, elle va encore être là après.
- Non, justement !
- Allez, juste une bouchée et on part après.
- Je n’ai pas faim.
- C’est bon. C’est bon, on y va alors.
Monsieur Desrosiers attrapa son manteau et les clefs de la voiture, que le garage lui avait prêté temporairement, puis partit en direction de l’hôpital. Il put sortir Véro sans problème, à croire qu’ils attendaient impatiemment qu’elle parte ou qu’il manquait de place dans le bâtiment. Durant le retour, personne ne parlait. Véro avait appuyé sa tête sur l’épaule de David qui lui caressait les cheveux.
- On est arrivé, averti monsieur Desrosiers lorsqu’il arrêta la voiture.
Véro ouvrit les yeux et constata qu’elle n’était pas devant chez elle, puis elle n’avait pas vraiment envie de marcher. Véro allait débarquer, mais David la retint, il sortit de la voiture et alla ouvrir celle de Véro. Il l’aida à sortir et la prit dans ses bras, devant l’air moqueur de monsieur Desrosiers.
- Où, on va capitaine ? demanda Véro en souriant.
- Dans ma chambre déesse, tes parents sont prévenus.
Véro regarda alors monsieur Desrosiers qui lui fit un sourire et entra dans la maison, suivi de David qui portait toujours Véro. David la déposa sur son lit et alla se coucher près d’elle.
- Tu fais quoi là Dav ? demanda Véro.
- Bah l’infirmière a dit que fallait que tu te reposes et je savais que tu aimais le travail d’équipe, alors je me repose avec toi.
- C’est gentil, mais tu n’es pas obligé.
- Bah je sais. Ça m’évite de devoir faire la vaisselle !
- Ah bonne idée alors, reste auprès de la blessée !
- Merci de m’approuver devant mes choix.
- C’est normal. Bon, reposons-nous.
- Bonne idée.
David s’approcha de Véro et l’embrassa sur les lèvres avant de se coucher sur l’oreiller et de fermer les yeux. Il les rouvrit un peu après et constata que Véro s’était endormie.

Marie se réveilla en sursaut à cause de la sonnerie de téléphone, elle décrocha et comprit que c’était Véro qui appelait pour parler à son frère. Elle raccrocha se doutant que c’était pour que quelqu’un aille la chercher. Elle était contente que finalement ça se passe bien. Elle était encore un peu fatiguée, car elle avait très mal dormi. Elle avait fait plein de cauchemar où elle voyait Pierre, David ou encore Véro mourir, sans qu’elle puisse faire quoi que se soit. À chaque fois, elle n’arrivait pas à bouger et se sentait tellement impuissante. Marie était contente d’être enfin le matin, elle pourrait passer à autres choses et essayer d’oublier cet accident. Elle décida d’appeler Pierre pour s’assurer que tout allait bien pour lui.
- Salut Pierre !
- Salut. Ça va comment ce matin ?
- Bah disons que j’ai mal dormi.
- Ouais, moi aussi. Tu as mal quelque part ?
- Bah non pas vraiment.
- J’y pense, on n’a pas pu m’acheter de nouveaux boxers.
- Ah Pierre !
- Bah quoi, c’est vrai.
- Tu me fais rire, j’y peux rien.
- Je sais. Moi non plus je ne peux rien y faire. David semble comment ?
- Bah je ne sais pas vraiment. Véro a appelé pour qu’il vienne la cherhcer, alors ça doit lui avoir remonter le morale. Ils viennent d’arriver de l’hôpital et Véro va rester un peu ici, car David est trop possessif.
- Bah pour l’instant ça se comprend, mais il a toujours été comme ça.
- Ouais, mais bon là il a eu peur qu’elle soit tomber amoureuse d’un autre gars et maintenant l’accident, on ne lui reprochera rien maintenant.
- Je suis d’accord, laissons-les se remettre de leurs émotions un peu. Ce n’est pas trop évident c’est temps-ci.
- Je sais. J’aimerais faire quelque chose avec aujourd’hui.
- Bah je ne peux pas vraiment, j’ai un rendez-vous super important.
- Ah bon, un rendez-vous avec qui ?
- Bah avec un gars qui va peut-être m’embaucher.
- Où ça ? Tu ne m’en avais pas parler.
- Je sais, c’est nouveau. Bah tu sais le magasin de musique du coin. Bah, Joël aurait lâché la job et ils se cherchaient quelqu’un, puis ils ont retrouvé le CV que j’avais envoyé.
- Ah, mais c’est super ça !
- Ouais, je suis pas mal content. C’est sûr que j’aurai moins de moment de libre pour être avec toi, mais ça en vaut la peine je crois.
- Ouais je suis d’accord. Bon ma mère m’appelle, je vais y aller.
- Bah pas de problème, bonne journée ma belle !
Marie se rendit compte qu’il était déjà 9 heures, après qu’elle ait décider de ranger sa guitare. Elle décida alors d’aller voir son frère et Véro dans la chambre. Lorsqu’elle rentra, elle resta surprise de les voir jouer au carte.
- Ah salut petite sœur, dit alors David en voyant Marie entrer.
- Euh salut, je ne vous dérange pas ? répondit Marie.
- Bah non pas du tout, dit Véro en riant. Je commençais à trouver ça plate de jouer aux cartes et je trouvais une défaite pour arrêter.
- Arrête de blaguer Véro, je sais très bien que tu adores ça, se défendit David.
- Je sais, je te taquine mon amour, dit-elle en l’embrassant. Avec toi, tout est intéressant.
- Vous êtes sûr que je ne dérange pas, dit Marie en riant.
- Bah en fait peut-être, dit David.
- David, elle me dérange pas, dit Véro en le frappant derrière la tête.
- Bon un veut que je reste et l’autre que je parte, dit Marie. Je crois que je vais partir, je suis désolé Véro, dit-elle en s’approchant pour la serrer dans ses bras.
- Bah ce n’est pas grave, dit Véro en souriant.
- Je vais aller me coucher, ajouta Marie avant de sortir.
Véro dit à David qu’elle devrait rentrer chez elle, mais il insista pour qu’elle reste à coucher. Elle ne put s’empêcher de dire oui et lui fit promette qu’il la laisserait partir un peu le lendemain. Marie était sur son lit et lisait sa revue qu’elle venait de recevoir et finit par s’endormir, la revue sur son nez.
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MessageSujet: Re: Épisode 11: Malchance   Épisode 11: Malchance EmptyMer 18 Jan 2006 - 14:28

Géraldine s’était levée assez tard, comme elle le faisait à son habitude lorsqu’il n’y avait pas d’école. Elle n’avait pas envie de s’habiller ou d’aller se maquiller pour avoir un minimum d’allure. Elle était très simple et ça faisait presque peur à sa mère, mais Géraldine se foutait bien de se qu’elle pouvait penser. Elle passa la journée assise devant son écran d’ordinateur, le téléphone proche et hésitant pour appeler Sébastien. Lorsqu’elle décida enfin de composer le numéro de Sébastien, elle se frustra en constatant que c’était occupé. Elle remit le téléphone à sa place et alla se prendre une feuille et un crayon. Elle écrivit une lettre de deux pages, qu’elle alla poster tout de suite après avoir fini de l’écrire. Lorsqu’elle se coucha ce soir là, elle avait l’impression que son cœur allait exploser tellement elle était stressée. Elle finit par s’endormir avec une peluche serrée contre son cœur.

Jessy se leva d’un bond lorsque son réveil sonna. Elle constata qu’elle avait son premier cour de danse. Elle se rappela que malgré l’incident de la veille, la vie continuait quand même. Elle se devait d’être prête pour sa leçon. Jessy était tout de même très contente d’y aller, elle avait même très hâte d’être dans le gymnase et d’apprendre les prouesses que le professeur allait lui apprendre. Elle enfila un pantalon de gym, un chandail très simple et descendit le sourire au lèvre. Sa mère lui dit de se dépêcher à prendre son déjeuner, puis qu’elle irait la mener après, car il faisait très froid dehors. Jessy ne se fit pas prier et prit une toast et un grand verre de lait, puis alla se pointer devant sa mère qui était au salon.
- Ça y est, je suis prête !
- Parfait, j’allais justement te dire qu’on devait y aller.
- J’ai vraiment hâte d’y être !
- Ah et bien tant mieux !
Sa mère prit les clefs de la voiture et elles sortirent pour prendre la voiture. Lorsque Jessy entra dans le gymnase, elle reconnu Jessica, la blonde de Jeff. Elle alla immédiatement la voir.
- Salut Jessica !
- Salut, tu es une amie de Jeff, c’est ça ?
- Ouais, je m’appelle Jessy.
- Ah parfait. Tu viens suivre des cours de danse ?
- Oui ! Toi ?
- C’est moi qui donne les cours pour débutant.
- Ah. Ça fait longtemps que tu en fais de la danse ?
- Pas trop mal, ça fait 7 ans.
- Tu as commencé à 12 ans ?
- Ouais, c’est exact. J’ai adoré, je suis sûr que tu aimeras aussi et en plus ça tient en forme.
- Génial !
Jessica se tourna vers le groupe et vérifia sa liste de présence. Comme tout le monde était arrivé, elle commença son cours en expliquant les objectifs et enchaîna en parlant du spectacle qu’il y aurait à la fin de la session. Jessy commença réellement à s’amuser lorsque Jessica enseigna quelques pas de danse. À la fin de la séance, elle alla voir Jessy.
- Tu te débrouilles comme une championne ! Tu en as déjà fait avant ?
- Bah non.
- Pourtant, on jurerait que si. Félicitations !
- Bah merci ! Bon, je dois y aller, ma mère doit m’attendre.
- Pas de problème, à la semaine prochaine. Ah au fait, dit à Jeff de ma part que je l’aimes.
- J’y dis le message pas de problème. Bye !
- Ouais salut.
Jessy sortit du gymnase et alla rejoindre sa mère qui attendait assise dans la voiture. Lorsque Jessy arriva chez elle, elle alla chercher sa guitare. Elle n’était pas vraiment fatiguée, mais elle se sentait vraiment mieux. Le cour de danse lui avait fait beaucoup de bien et lorsqu’elle se coucha, elle s’endormit heureuse de sa journée.
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